Comment auteurs et compositeurs ont-ils répondu aux directives du Concile pour que nos chants remplissent leur fonction ministérielle ?
Après une brève rétrospective historique de la place de la musique dans la liturgie, l’auteur évoque les lignes de force du Concile Vatican II en matière musicale. Puis il survole les contextes socio-culturels des années 60, et analyse l’état d’esprit dans lequel les auteurs-compositeurs, le clergé, les animateurs, les équipes liturgiques et les assemblées ont mis en œuvre les enseignements du Concile. Il analyse particulièrement la notion de « convenance rituelle », les chants de « louange », ainsi que l’utilisation parfois inappropriée du langage « duel » (je-tu) dans les textes des chants. Pour finir, il formule quelques libres propos sur la situation actuelle.
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