LE VOL ET LE TRAFIC D’OBJETS DU CULTE
Cette note n’est pas un document officiel du ministère de l’Intérieur. Elle reprend l’intervention effectuée par le chef d’escadron LAMBERT, chef du bureau des relations extérieures de l’office central de lutte contre le trafic de biens culturels (OCBC), le 19 janvier 2009 lors de la réunion des délégués des commissions d’art sacré à la conférence des évêques de France. Cette note est régulièrement mise à jour.
La France possède un patrimoine religieux très important, tant au regard du nombre d’édifices de toutes tailles qu’eu égard à la richesse et à la diversité du patrimoine mobilier que ceux-ci abritent. Ce patrimoine a de tout temps été la cible de convoitises diverses, soit de la part de voleurs, soit de celle de vandales motivés par des considérations politiques ou religieuses (guerres de religion, Révolution française...), sans parler des péripéties militaires qu’a connu le territoire. Aujourd’hui, le dépeuplement des campagnes et la baisse de fréquentation des églises rendent celles-ci plus vulnérables aux vols ; d’autant plus que les communes, à qui incombe la responsabilité de l’entretien et de la sécurité des édifices religieux, n’ont pas toujours les moyens ni la volonté d’en assurer une protection suffisante. (...)
Téléchargez l’ensemble de l’intervention du chef d’escadron Lambert : Le vol et le trafic d’objets du culte (version 2010)
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Pour plus de renseignements ou documentation :
Office Central de lutte contre le trafic des Biens Culturels
101 / 103 rue des Trois Fontanot
92000 Nanterre
