contrat de travail et ne peuvent par conséquent prétendre à aucune rémunération. Toutefois, les organistes bénévoles peuvent éventuellement bénéficier de remboursements de frais sur justificatifs (en veillant à ce que ces remboursements ne puissent être qualifiés de rémunération déguisée).
Les bénévoles peuvent être organistes titulaires.
Il n’est pas possible d’admettre un organiste ayant le statut de "travailleur indépendant".
Les organistes sont classés en trois catégories, en fonction de leurs compétences.
Catégorie A : Organiste professionnel titulaire d’un prix de conservatoire ou d’une école de musique.
Catégorie B : Organiste d’un bon niveau technique ayant suivi des cours en école de musique ou avec un professeur reconnu, capable non seulement d’accompagner les chants, mais aussi d’interpréter des pièces du répertoire et pouvant improviser éventuellement des préludes et interludes pour les chants.
Catégorie C : Organiste sachant accompagner et capable de jouer de courtes pièces simples.
les curés dont la tribune risque de devenir vacante pourront s’adresser à la Commission Diocésaine des Orgues et/ou au Centre Diocésain de Formation des Organistes (C.D.F.O.) qui répercutera cette demande auprès des professeurs d’orgue du conservatoire et des écoles de musique.
3. Rémunération des organistes
Seuls les organistes ayant un contrat de travail passé avec la fabrique de l’église et déclarés peuvent prétendre à la rémunération suivante :
Exemple de rémunération à Metz :
Catégorie A : 20 euros net
Catégonie B : 12 euros net
Catégorie C : 09 euros net
En région parisienne, les tarifs sont plus élevés (entre 33 et 72 euros). Voir la Convention Collective de chaque diocèse.