L’éveil au ministère presbytéral et la vie consacrée


Ce texte constitue d’abord une LETTRE DE LA COMMISSION "EVEIL ET FORMATION" (1), envoyée aux partenaires diocésains de la Mission Ouvrière pour les sensibiliser à la question des vocations.

- DES CONVICTIONS

Pour le monde, pour l’Eglise, le ministère presbytéral et la vie consacrée sont un besoin.

Cette conviction, nous l’exprimons pour la Mission de l’Eglise qui est la nôtre en Monde Ouvrier.

Laïcs, prêtres religieux et religieuses, tous nous sommes concernés pour vivre l’invitation du Christ à le suivre dans une vie évangélique. Il est urgent de faire retentir l’appel à une vie consacrée et / ou au ministère presbytéral.

Sans interpellation, quel avenir pour une vie d’Eglise ?

Le dynamisme d’une vie en Mouvement et d’une vie en Eglise est essentiel pour en donner le goût et que nous ayons nous-mêmes celui d’interpeller des jeunes et des adultes.

- GENESE d’UN TEXTE

Le document que nous vous faisons parvenir (à la demande du Secrétariat National de la Mission Ouvrière) concerne à la fois l’éveil au ministère presbytéral et à la vie consacrée : ils structurent l’un et l’autre la vie de l’Eglise de manière différente et leur signification est autre.

Nous avons décidé de les regarder ensemble, étant entendu que le discernement d’une vocation (ministère presbytéral, vie religieuse), celui du laïcat consacré d’un institut séculier ou d’une congrégation suppose tout un cheminement et un accompagnement : il commence avec "Eveil et Recherche" (J.O.C.), "Filles en Recherche" (J.O.C.F.), "Accueil et Recherche (A.C.O.), et les "Services des Vocations", et se poursuit dans le cadre des G.F.O., du "groupe de préparation à la vie consacrée", des séminaires, des congrégations et instituts divers.

Par ailleurs, en J.O.C.- J.O.C.F. en particulier, l’éveil au ministère presbytéral et à la vie consacrée sont habituellement conduits ensemble même si les structures et les temps proposés sont distincts.

Des commissions "Eveil et Formation" ont été mises en place par un certain nombre de Conseils diocésains de Mission Ouvrière comme nous l’avions suggéré dans notre document de juin 1987, paru dans "La Foi d’un Peuple" (n°80 - décembre 1987).

Ce document se veut un outil pour ces Commissions et tous ceux et toutes celles qui travaillent avec "Eveil et Recherche" et "Filles en Recherche" ainsi que pour les responsables des Mouvements, les prêtres, religieux et religieuses.

Il comporte trois parties :

I - des éléments qui favorisent l’éveil
II - des résistances, obstacles, freins à l’éveil
III - quelques points de repère et une annexe dans laquelle vous trouverez un lexique de nos sigles et les adresses des responsables.

Le ministère diaconal n’est pas repris dans ce document. En 1988 notre Commission, sur proposition du Secrétariat National de la Mission Ouvrière, vous a fait parvenir des points de repère le concernant : ils sont parus dans "La Foi d’un Peuple" (n° 84 - décembre 1988).

Nous serions heureux si ce nouveau document pouvait vous être utile ; nous le serions également si vous nous faisiez part de vos propres réalisations : elles peuvent en aider d’autres.

I - ELEMENTS QUI FAVORISENT l’EVEIL

Il n’y a pas d’ordre, dans les éléments qui favorisent l’éveil. L’interpellation au ministère presbytéral ou à la vie consacrée ne se situe pas au bout d’un cheminement, de manière automatique... Cet éveil se réalise par une multiplicité d’éléments. Leur conjonction en facilite l’interpellation.

  • 11 - RENDRE LA QUESTION NORMALE ET HABITUELLE

Le ministère presbytéral ? La vie religieuse ? C’est une question qui va, qui vient, une question qu’on se pose, une question qu’on oublie, une question qui revient...

111. Vouloir être prêtre, à 10 ans ça se dit sans trop de peine ; dire qu’on voudrait être religieuse à 12 ans, c’est difficile ; plus tard, ce l’est plus pour tous.

"J’ai commencé à me poser la question de la vie religieuse depuis toute gosse".

"La première fois que je me suis posé la question d’être prêtre j’avais 12 ans. A 17 ans, au Festival des jeunes pour l’emploi, la Célé et le dynamisme des jeunes ont fait rejaillir en moi la question du ministère".

112. C’est donc à des âges différents (10 ans, 17 ans...) que la question est à poser régulièrement pour qu’elle puisse rebondir.
En effet, poser la question régulièrement et publiquement, c’est la rendre normale, et faire que ce ne soit plus un sujet tabou.

113. Sortir du "secret", exprimer un projet à quelqu’un qui l’accueille, ce n’est pas rien pour lui, pour elle. Et quand cet homme, cette femme sont heureux d’accueillir ce projet, la joie partagée met en route pour une autre étape.
  • 12 – DURER DANS DES INITIATIVES ORDINAIRES ET PUBLIQUES

121. Les occasions sont multiples et différentes pour interpeller sur le ministère presbytéral ou la vie consacrée : elles sont à saisir.

- ordination, engagement dans la vie religieuse, départ pour d’autres lieux, etc.

- récos Perlins, Fripounets, Triolos en A.C.E.

- soirées "Projet de vie", sessions, rassemblements, un stand dans une fête de la J.O., une fresque, un tract... en J.O.C. / J.O.C.F.

- préparation d’un sacrement (baptême, confirmation)

- proposer à ceux qui le veulent des week-ends "Eveil et Recherche" et "Filles en Recherche".

122. Durer dans des initiatives ordinaires, ça crée une ambiance, ça fait exister une question publiquement, ça rend possible l’appel personnel.
Cela permet de dire : "TOI, QU’EST-CE QUE TU VEUX FAIRE DE TA VIE ?"

  • 13 - INTERPELLER PERSONNELLEMENT

131. Interpeller quelqu’un personnellement, lui poser la question, c’est possible. Quand on ose, on est souvent surpris :

- par l’accueil de l’autre

- la liberté de l’autre.

    "Si la question ne nous avait pas été posée, disent des jeunes en formation, on ne serait probablement pas là aujourd’hui."
  • 14 - UNE DIVERSITE DE TEMOINS
141. Envisager le ministère presbytéral et / ou la vie consacrée ce n’est pas seulement à coup de questions posées, qu’on y pense. La rencontre de témoins divers est essentielle : une communauté, un aumônier, un religieux, une religieuse, un prêtre ouvrier, un responsable de mouvement, un(e) laïc(que) consacré(e), un jeune en formation, etc.
142. Ce sont des hommes et des femmes qui expriment la chance de vivre leur foi, qui aiment vivre au milieu de leur peuple et qui en sont heureux.
Parmi eux, des prêtres et des religieux, des religieuses manifestent l’originalité de leur vocation.

"C’est la rencontre d’une religieuse qui m’a donné envie de l’être, c’est comme ça que j’ai rencontré la communauté."

Un jeune travailleur à des prêtres ouvriers qu’il connaît : "Entre vous et moi, le courant passe. Vous êtes de ceux qui me donnent envie d’être prêtre."
Ailleurs encore des jeunes demandent à des prêtres, des religieux, des religieuses : ’Toi, comment tu vis ça ?"
143. Cette diversité de témoins ouvre des perspectives : il y a différents types de ministères possibles, différentes formes de vie consacrée pensables.
On peut être : prêtre ouvrier, prêtre en paroisse ou aumônier ; choisir d’être membre d’un institut séculier ou d’une congrégation, ou être laïcs consacrés, en France ou dans d’autres pays.
  • 15 - LE DYNAMISME DE COMMUNAUTES CHRETIENNES RENCONTREES
151. L’existence d’un tissu de relations mais aussi celui d’un tissu ecclésial est un humus essentiel pour la naissance et le développement d’un tel projet.

"La lumière qui se fait progressivement autour du projet de Christophe n’est pas le résultat d’un travail ’en duo’, beaucoup d’autres l’accompagnent directement ou indirectement, consciemment ou inconsciemment à travers des rencontres de travail, de réflexions et de prière."

152. C’est dans la vie en équipe que se mûrit aussi un tel projet. La révision de vie y prépare.
Sur leur chemin, plusieurs jeunes en formation disent avoir compris l’importance du carnet de militant et fait la découverte de la prière personnelle.
153. Les initiatives prises pour inviter à un partage de foi ou pour mener l’action, les propositions de fêtes et de rassemblements, la découverte de la prière en Eglise et de la célébration sont autant de chemins possibles pour l’éclosion et le mûrissement d’un tel projet.
154. Dans une vie de précarité, pour qu’un tel projet arrive à son terme, des lieux, des temps sont nécessaires. Là s’éveille le sens des autres et se structure la foi.
  • 16 - L’EXPERIENCE DES RESPONSABILITES

Ceux qui aujourd’hui réfléchissent ou se préparent au ministère presbytéral et à la vie consacrée sont, bien souvent, des jeunes ou des adultes que l’on a sollicités pour des responsabilités diverses : responsable de club, trésorier d’équipe, fédéral ou en responsabilité nationale.

161. Ces responsabilités, si minimes soient-elles, permettent à ces jeunes, dans une durée, de se structurer :

- Elles développent la conscience d’appartenir à la Classe Ouvrière,

- elles invitent à faire une expérience d’Eglise intéressante qui éveille à l’importance du ministère presbytéral et / ou de la vie consacrée.
Ces responsabilités éveillent à l’importance du ministère presbytéral et de la vie consacrée.
  • 17 - DES MOYENS POUR MURIR UN PROJET
171. Dans certaines régions, des soirées régulières "Eveil et Recherche" et "Filles en recherche" sont proposées suite aux soirées "Projet de Vie".
Chaque année, la J.O.C. / J.O.C.F. propose des week-ends régionaux et nationaux "Eveil et Recherche" et "Filles en Recherche". L’A.C.E. et l’A.C.O. en sont partie prenante.
Ce sont des milieux où, avec d’autres, on peut se poser la question qui est la sienne, y réfléchir, et rencontrer d’autres garçons et filles qui ont cheminé plus avant dans le projet.
172. Mais aller plus loin, mûrir un projet, découvrir la multiplicité des possibilités offertes pour le ministère ou la vie consacrée, faire le choix d’une communauté ou d’un institut suppose une étape plus importante, un lieu où l’on peut cheminer plus longuement avec d’autres (G.F.O. - Préparation à la vie consacrée).
  • 18 – POUR CONDUIRE CET EVEIL

181. Les Commissions Diocésaines Mission Ouvrière ont, en divers endroits, créé des Commissions sur l’avenir du ministère ordonné et de la vie consacrée. Elles saisissent des occasions et prennent des initiatives.

182. De même, il arrive que des rencontres d’aumôneries et de religieuses aient lieu sur le sujet.

II - DES RESISTANCES. DES OBSTACLES. DES FREINS... A l’EVEIL

Ils sont multiples. Nous en soulignerons quelques-uns qui nous semblent aujourd’hui plus importants.

  • 21 – LA PRECARITE
211. Pour les jeunes du monde ouvrier, la précarité est sans doute l’un des obstacles essentiels à l’éveil pour un projet à long terme.

- elle fait vivre, en effet, dans l’incertitude tandis qu’elle empêche d’acquérir une autonomie,

- elle fragilise ceux qui la subissent et ralentit la maturité humaine et spirituelle,

- elle installe le doute dans l’esprit et fait perdre confiance en soi-même, dans les hommes et les institutions.
212. Dans un contexte où on ne dure pas dans un emploi stable, le ministère presbytéral et la vie consacrée peuvent apparaître une fuite ou au contraire un projet impossible à envisager ! "Serais-je capable de durer ?" "Est-ce possible de s’engager pour toute une vie ?"
213. Quand on a un emploi stable, quitter son travail c’est prendre le risque de ne pas en retrouver si ce projet n’aboutit pas.
  • 22 – DES CRAINTES
221. La crainte devant la formation habite certains déjà au travail ou d’autres qui ont fait peu d’études. Des craintes parfois entretenues par des adultes qui disent : "Tu ne seras pas capable". Ils ignorent que différentes possibilités de formation existent.
222. Le célibat interroge : "pourrais-je le vivre ?" N’est-ce pas se marginaliser ? Peut-on réussir sa vie en étant célibataire ?
223. Les conditions d’exercice du ministère presbytéral peuvent aussi faire obstacle : isolement, solitude, rémunération, surcharge des prêtres et leur âge.
Des gars préfèrent alors se tourner vers la vie religieuse pour rechercher une sécurité dans une vie de prière, une vie fraternelle dans une communauté.
224-. Pour des filles, les contraintes d’une vie de communauté et la perte d’une certaine indépendance font peur.
225. Crainte de certains jeunes de prendre un engagement définitif dans une Eglise dont ils ont du mal à être solidaires et dont l’avenir leur paraît incertain.
  • 23 - NOS COMPLICITES AVEC l’ENTOURAGE

Pour beaucoup (et parfois pour nous-mêmes), le ministère presbytéral ou la vie religieuse n’entrent pas dans les normes d’une vie "réussie".

231. "Pour les copains, ce qui compte : c’est gagner beaucoup de fric, en claquer, s’ouvrir aux femmes. Etre curé pour eux, c’est se marginaliser". Et puis "A quoi ça sert ?"
232. "En ce qui me concerne, les premières résistances venaient de ma famille. Il n’y avait pas d’autre enfant."
Des parents disent : "On a peur que nos enfants ne soient pas heureux" ou bien "ils sont bien jeunes pour prendre une telle décision."
233. Quand on parle de célibat, avant d’en voir la richesse, on le voit comme un obstacle à une vie épanouie.
  • 24 – LA PEUR d’INTERPELLER
241. Des prêtres, des religieux, des religieuses sont gagnés, parfois, par la peur de recruter, ils ne proposent rien, ont peur de "forcer la liberté" "n’entendent pas" la question que les jeunes leur posent et les renvoient "à leurs études" ou à plus tard. Trop de prudence empêche parfois un jeune d’aller plus loin dans sa réflexion.
242. L’aumônerie est attentive à l’éveil au ministère presbytéral, mais il n’en est pas forcément de même, en ce qui concerne la vie consacrée masculine et féminine. Si on dit qu’on reconnaît la nécessité des prêtres, est-ce qu’on cherche à comprendre la signification de la vie consacrée et son utilité pour le monde d’aujourd’hui ?
243. Les Mouvements sont conscients de leurs besoins et de ceux de l’Eglise. Ils portent l’interpellation.
Lorsqu’il s’agit d’interpeller au plus près, les laïcs n’ont pas toujours pris la mesure de leurs responsabilités.
  • 25 - NOTRE VIE EN EGLISE

La manière dont nous tous, hommes et femmes, prêtres, laïcs, religieux et religieuses nous nous situons en Eglise, favorise ou non l’éveil.

251. Pour s’éveiller, une vocation a besoin d’un tissu ecclésial où tous sont responsables. Or, les baptisés que nous sommes sont parfois plus consommateurs qu’acteurs.
252. La façon dont nous parlons de l’Eglise devant les enfants et les jeunes n’est pas étrangère à leur éveil à une vocation presbytérale ou religieuse.
253. La faiblesse d’une vie sacramentelle et de prière ne témoigne guère de l’utilité d’une vie qui en porte la marque.
254. Nous nous situons bien souvent "en extériorité" dans un rapport qui n’est que critique, comme si l’Eglise n’était qu’institution. L’Eglise serait étrangère à notre propre cheminement, à ce que nous sommes devenus !

III - QUELQUES POINTS DE REPERE POUR l’EVEIL AU MINISTERE PRESBYTERAL ET A LA VIE CONSACREE

LE MINISTERE PRESBYTERAL, LA VIE CONSACREE, C’EST UN BESOIN POUR LE MONDE, C’EST UN BESOIN POUR l’EGLISE.

Ils sont indispensables à la Mission de l’Eglise dans le monde.

  • 31 - ACCUEILLIR positivement une question, un projet
  • 32 - OSER INTERPELLER sans attendre qu’il(elle) ait fait tout le parcours idéal !
      • il y a des âges dans l’éveil
      • il y a des jeunes et des adultes dont la vie et l’action disent quel Esprit les anime . il en est qui attendent une question, une interpellation.
  • 33 – FAIRE DECOUVRIR la richesse des possibles
      • rendre possible un projet :
        c’est l’accueillir sans effrayer, c’est le prendre au sérieux, c’est permettre que progressivement il se clarifie.
        Ne pas dire tout ce qu’il y aura à faire tout de suite.
        Faire mûrir un projet.
        Faire découvrir la diversité des charismes.
        C’est rendre possible un projet.
  • 34 - CONTINUER de faire un bout de chemin avec celui ou celle qui a pris l’initiative d’en parler.

  • 35 - LANCER LARGEMENT l’INTERPELLATION au cours des temps forts des Mouvements
    (Rassemblements - sessions, etc. par des tracts, des stands de vocation).
POUR QU’ELLE DEVIENNE NORMALE ET PUBLIQUE.
DURER DANS DES INITIATIVES ORDINAIRES (récollections – soirées projets de vie, etc.)
SAISIR LES EVENEMENTS qui se présentent (ordinations - engagements dans la vie religieuse - départs ou arrivées - anniversaires, etc.)

Ces initiatives rendent la question ordinaire et publique. Il devient possible de la poser.

  • 36 - OFFRIR DES LIEUX où puissent se vivre des pratiques d’Eglise (révision de vie, sacrements, carnet de militant, prière, célébration, prise de responsabilité, etc.)
  • 37 - CREER, dans chaque C.D.M.O., une Commission "Eveil et Formation" ou une antenne (cf. le document paru dans "La Foi d’un Peuple" n° 80, p.19, et dans le C.A.F. n° 1080 de décembre 1987), qui porte sur le diocèse le souci de l’éveil et prenne toutes les initiatives qui le favorisent.
  • 38 - RENDRE POSSIBLE L’EVEIL
    c’est reconnaître nos propres résistances et les désarmer,
    c’est exprimer l’impact de la foi sur nos propres existences,
    c’est nous convertir au Dieu de Jésus-Christ, vivre de son Esprit,
    c’est susciter chez tous ce désir : "Que l’Esprit Saint fasse de nous... une vivante offrande à la louange de sa gloire."

NOTES --------------------------

(1) La Commission "Eveil et Formation" comprend, entre autres, des membres de la J.O.C. / J.O.C.F. ; A.C.E.-M.O. ; A.C.O. ; G.F.O. ; E.F.M.O. ; Préparation à la vie consacrée ; le secrétaire national en M.0... [ Retour au Texte ]


- ANNEXE -

LEXIQUE

- EVEIL ET RECHERCHE (J.O.C.)

- FILLES EN RECHERCHE (J.O.C.F.)

- ACCUEIL ET RECHERCHE (A.C.O.)

Structures mises en place par la J.O.C. / J.O.C.F. et l’A.C.O. qui, par différentes propositions, ont le souci d’éveiller des jeunes et des adultes à l’appel au ministère et à la vie religieuse. Elles veulent aussi leur permettre de cheminer avec cette question pour un premier discernement.

======================================

- GROUPE DE FORMATION EN MONDE OUVRIER (G.F.O.)

Premier cycle de formation pour les jeunes et adultes qui pensent à être prêtres. Il a la volonté de permettre de commencer une formation au ministère presbytéral tout en gardant l’enracinement humain et ecclésial. En conséquence il se déroule en plusieurs années sur des week-ends.

- adresse : Responsable national Xavier COLLETTE
23 rue Jean de Beauvais - 75005 PARIS
tél. : 43.29.92.30

======================================

- GROUPE DE PREPARATION A LA VIE CONSACREE

Accueille des filles venues de la J.O.C., de l’A.C.E. et de l’A.C.O. qui ont participé aux propositions faites par "Filles en Recherche" ou "Accueil et Recherche" et qui veulent approfondir et éclairer la question.

C’est une étape proposée à des jeunes et moins jeunes pour qui un projet de vie consacrée se précise et qui désirent faire un pas de plus avant le choix d’une Institution ou d’un Institut. C’est une étape de préparation, de mûrissement qui place devant les diverses possibilités de vie consacrée : vie religieuse apostolique, vie contemplative, Institut séculier, laïcat consacré.

- adresse : Responsable nationale Yvette CLAUZEL
H.L.M. "Les Ayencins 2"
Allée A- - 38550 LE PEAGE DU ROUSSILLON
tél. : 74.86.38.01

======================================

- EQUIPES DE FORMATION EN MONDE OUVRIER (E.F.M.O.)

C’est le deuxième cycle de formation pour les jeunes qui se préparent au ministère presbytéral. Il fait suite aux G.F.O.

DES EXEMPLAIRES DE CE DOSSIER
PEUVENT ETRE COMMANDES
AU SECRETARIAT DE LA MISSION OUVRIERE :
10 F l’ex. port compris.