Ecole Catholique et Vocations - Une recherche dans le diocèse de Metz -


L’école catholique a toujours eu le projet d’éveiller ses élèves à toute la grandeur de leur vocation humaine et chrétienne. C’est même dans cette recherche qu’elle peut le mieux trouver sa spécificité.

Dans le concret, des réunions se multiplient. Le compte rendu ci-dessous en présente un exemple. La feuille imprimée en résume quatre autres. Cette feuille a déjà paru dans le précédent numéro de "Jeunes et Vocations", mais dénaturée par des erreurs d’impression qui la rendait incompréhensible. Veuillez excuser ce contre temps.
On peut commander cette feuille au C.N.V. Prix unitaire : 1 F.

Claude CUGNASSE


REGARDS PORTES SUR UN CHEMINEMENT

I - Le groupe et ses intentions

o Qui a travaillé ?

  • Un groupe de Moselle s’est mis en marche après la session de Montpellier :
    l’un de nous avait participé à l’atelier "école catholique et vocations" avec Max CLOUPET.
  • Des invitations ont été envoyées systématiquement à toutes les écoles catholiques du diocèse, adressées à la direction, aux enseignants, à tout le personnel, aux parents, aux élèves.
  • Une quinzaine de réponses, regroupant six écoles, a permis de composer une équipe formée :
      • d’un directeur,
      • d’une dizaine d’enseignants,
      • de quatre ou cinq grands élèves.
        Absence regrettable du personnel administratif et de service, des parents.

Deux remarques :

  • - Sur la composition de l’équipe : l’une ou l’autre fois, il y a eu la présence d’un prêtre ; en permanence trois religieuses, les autres étant des laïcs (célibataires ou mariés) ; cela donne une dimension plus large correspondant mieux au visage de l’Eglise.

  • Ceux qui viennent ne sont pas délégués par leur école, mais ils viennent par intérêt pour la question) pour être moins isolés dans "leur idéal", à titre personnel.

o "Comment on a travaillé ?

  • Mise en route à partir du Compte rendu de Montpellier ;
  • Discussion et précision du sujet à partir de deux documents :
      • "Vocations et projets de vie" (Ens. Cath. documents n° 322)
      • Propositions de recherche de vérité" (Ens. Cath. documents n° 28)
  • Essai de formation d’une équipe en faisant le point de nos situations respectives... pour conclure que nous connaissions tous les mêmes problèmes ou à peu prés !
  • donc : partage, échange.

o But

  • Transformer notre regard et notre mentalité au sujet de TOUTE VOCATION.
  • Transformer petit à petit le regard et la mentalité de ceux qui sont avec nous en école catholique.
  • Prendre et faire prendre conscience de la vocation des jeunes qui nous sont confiés et, dans un sens plus large, de la vocation de l’école catholique et à ce titre de notre propre vocation.
  • Trouver ensemble des pistes pour que les vocations de chacun soient davantage respectées.

II - Principaux éléments de la réponse des carrefours

Constatations à différents niveaux :

  • Diminution sensible du sens du gratuit de la part des. enseignants ;
  • Incompréhension (souvent) de la part de la direction ;
  • Les effectifs des classes (il faut les assurer) priment sur le respect des vocations individuelles ;
  • Mais aussi action positive possible en conseils de classe ou d’orientation ;
  • Regard nouveau sur le monde du technique, du manuel (ne rien mépriser).

Remarque : un compte rendu a été fait au cours de chaque réunion et envoyé aux différents participants, ainsi qu’à toute personne intéressée.

III - Evaluation : intérêts et limites du travail fait pour les vocations.

o Intérêts

  • Premier élément qui semble très positif au plan de l’expérience humaine et dans le sens d’une Eglise en marche :
      • Certaines personnes ont répondu à l’invitation. Il y a donc un certain dynamisme qui les anime.
      • Connaissance des uns et des autres. Ce ne sont plus des personnes isolées qui s’épuisent seuls dans leur coin... mais un groupe qui se met en marche...
        pourquoi pas une petite cellule d’Eglise qui se met timidement debout !
        L’un de nous disait : "C’est très important que nous ne soyons pas tout seul à connaître les problèmes évoqués et à agir pour tenter de les résoudre !"
  • Deuxième élément positif ... : oserons-nous dire "un sens missionnaire"
      • En en parlant à un, deux, trois collègues... n’y aura-t-il pas tache d’huile
      • Plus d’attention vis-à-vis de ce que vivent les collègues : nos lieux, nos occasions de rencontre, nos conversations... qui a la parole ? Chacun peut-il s’exprimer ? Ex : réduction d’heures en classes à programme allégé, matières créées en 6e, d’où courses aux postes...
        Comment réagir pour que chacun puisse s’épanouir et épanouir ses élèves ? Tout professeur n’est pas fait pour enseigner n’importe quoi, afin que toute vocation puisse se réaliser...
      • Plus d’attention à ce que vivent les élèves : un élève de terminale nous a stupéfiés en nous disant qu’un copain de sa classe faisant une "sale tête", il l’a chahuté, se demandant pourquoi... il revenait de l’enterrement de sa maman ! Ni les copains, ni les professeurs ne le savaient.. "J’ai découvert que les autres avaient besoin de moi".
      • Plus d’attention vis-à-vis du collectif des classes : c’est ainsi qu’une classe de 6ème s’est ouverte à la souffrance d’une de leurs compagnes, dont le père a été victime d’un accident.
  • Troisième élément positif : transformation du regard, éveil mutuel les uns par les autres au sein du groupe.
      • Les jeunes ont découvert avec étonnement le monde des adultes... et se sont sentis écoutés.
      • Leur présence a également permis un partage professeurs-élèves en dehors du cadre strictement scolaire ; apport mutuel et enrichissement qui permettent un regard nouveau.
      • Découverte ou approfondissement de notre propre vocation.

o Limites

Lenteur du processus...

  • dans les écoles où nous nous trouvons, opposition de plusieurs collègues, de quelques chefs d’établissements trop pris par leurs activités et qui sont d’accord en principe... mais peut-être seulement en principe !
  • dans la constitution de l’équipe
      • absence de parents... de personnels ; _
      • à chaque réunion, des visages nouveaux (d’où nécessité d’une re-présentation" fastidieuse pour les uns, trop rapide pour les autres) et difficulté d’approfondissement des sujets ;
      • manque de structuration dans la préparation et le débat, ce qui ne favorise pas une réflexion en profondeur.
  • dans les liens avec le service Diocésain des Vocations, plus ou moins "inexistant", d’où deux dangers :
      • isolement du groupe - épuisement des personnes
      • faire sa petite cuisine en dehors d’une action d’ensemble.

CONCLUSION :

Quelques questions posées aux religieuses (nous ne pouvons pas nous les poser seules) :

  • quelle est notre mission d’enseignantes en école catholique ?
  • quelle est notre mission de religieuses en école catholique ?
  • quelle est la mission de la communauté religieuse en école catholique ?

Soeur Claire DECKER

Supplément à Jeunes et Vocations, mars 1978.

ECOLE CATHOLIQUE ET VOCATIONS
DES REALISATIONS, DES IDEES POUR 1978.

Voici un an, le Secrétariat général de l’Enseignement catholique et le Centre National des Vocations publiaient conjointement un document sur le thème " Vocation et projets de vie " ( E.C.D. 322 ) Cette recherche commune, amorcée au sein de la Commission nationale de pastorale, avait pour objet de proposer aux communautés éducatives quelques voies de réflexions et d’actions à entreprendre avec le conseil et l’appui des services diocésains des Vocations dans les perspectives pastorales définies par l’Enseignement catholique.
Par ailleurs, dans "Enseignement catholique Actualités " No 42 du mois de mars dernier, était présentée sous forme d’interpellations une série de pistes de travail pour les chefs d’établissements, les éducateurs, les animateurs d’aumônerie.
L’impulsion ainsi donnée s’est concrétisée dans un grand nombre de réalisations qui ont pris des formes très diverses selon le caractère des établissements, leurs besoins, le contexte local :
- à Besançon, 12 groupes d’approfondissement de la foi se sont organisés rassemblant adultes et jeunes du second cycle ;
- à Toulouse, des chefs d’établissements se concertent pour organiser une session sur le thème de la vocation des jeunes ;


- à Clermont-Ferrand, une action est entreprise dans le primaire ;
- à Rennes, plusieurs établissements mènent des recherches originales, une réunion est prévue à l’échelon diocésain à l’automne ;
- à Metz, un atelier a travaillé après avoir participé à une session nationale animée par le Père Cloupet, Directeur diocésain de l’Enseignement catholique de Bordeaux. Etablie à partir du document " Vocation et projets de vie " et des " 67 propositions ", la recherche a porté sur " notre propre vocation, sur celle des jeunes ; comment lui permettre de se réaliser, de s’exprimer ; également sur la vocation de l’Enseignement catholique lui-même " ;
- à Lyon, à Paris, à Bayonne, des initiatives s’organisent. L’espace manque ici pour relater leur multiplicité et leur richesse. Nous proposons quatre d’entre elles qui pourront inciter à entreprendre ou à persévérer...
L’enjeu d’aujourd’hui est d’abord la mise en place d’équipes éducatives, soucieuses d’une formation complète des jeunes, cela suppose reconnaissance, formation, statut. La qualité de la catéchèse, mais aussi celle de toute la vie à l’école sont en cause. Nous n’avons pas toutes les solutions mais ensemble, cherchons-les.

Amiens,

Pour voir au-delà des rôles et des fonctions

Que peut faire un enseignant pour favoriser la vocation d’un jeune ? Ainsi posée, la question ne semble pas nous concerner, tellement la vocation nous paraît éloignée des soucis de réussite et d’orientation scolaires. De plus les pressions abusives du passé nous inclinent à la prudence et au respect du jeune dans son évolution, à un point tel que nous observons le silence en ce domaine, privant ainsi nos élèves d’un témoignage qu’ils attendent sur le sens à donner à leur vie.
Voici la démarche d’un groupe d’enseignants d’Amiens qui, à la suite d’une session régionale de religieuses, de la région Champagne Picardie, 12 religieux(es) et laïcs, de sept écoles différentes se sont mis en recherche avec un prêtre... En novembre 1976, trois membres du Service diocésain des Vocations s’interrogent sur l’information du groupe et commentent le document 322 de " Enseignement Catholique Document" " Vocation et projets de vie", ils proposent une grille de réflexion sur le thème : " Nos services d’Eglise".
Après réflexion, nous nous sommes fixé trois objectifs communs :

  • réfléchir au projet éducatif et à la manière dont nous le vivons ;
  • travailler régulièrement afin que la journée prérentrée favorise réellement la mise en oeuvre du projet éducatif entre professeurs ;
  • porter nos efforts sur le conseil de classe : voir les jeunes comme des personnes entières.

A partir de ce travail, d’autres grilles de réflexion ont été établies qui nous ont permis de progresser. En avril, nous avons suivi un exemple ( dans un établissement, le directeur a préparé les professeurs au conseil de classe : méthode de travail, temps de travail, temps nécessaire, bilan individuel et collectif ), et nous avons essayé de regarder comment nous avions vécu nos conseils de classe du second trimestre.

  • Trop souvent les élèves jugent ce conseil comme un " tribunal ".
  • Les professeurs ont tendance à y vivre une zone secrète ; ils portent facilement un regard " chiffré " sur le jeune. De nos différentes expériences de conseil de classe, il se dégage un regard d’ensemble pessimiste : beaucoup de négatif ; cela nous permet de nous remettre en question.
    Les professeurs n’ont pas tous le même objectif, mais notre regard sur le jeune change : il est autre : il dépasse le scolaire.
    La qualité du conseil de classe dépend du temps passé gratuitement avec le jeune ; il dépend aussi de toute une vie de relation entre professeurs ; c’est un appel pour l’an prochain à insister sur la relation entre professeurs.
    En conclusion, nous avons découvert le grand intérêt d’aborder la réalité scolaire par la visée de la vocation : l’enjeu est de passer d’une démarche de rôles, de fonctions, par lesquels se vit implicitement une vocation, à une prise de conscience de sa responsabilité vécue. La Révélation chrétienne retentit au coeur de ces responsabilités ; on découvre dans la foi que l’on répond à une vocation.

Bourges,

A partir des propositions de recherche

En mars 1976, le numéro 28 d’E.C.D., intitulé " Propositions pour une recherche de vérité pour une Ecole Catholique " atterrissait sur mon bureau.
Dès sa première lecture, je pensai que cette recherche devrait nous aider à mieux réaliser notre travail auprès des jeunes, et je partageais cet intérêt avec une éducatrice des classes de quatrième, troisième de l’Institution de 1 500 élèves où je suis aumônier du groupe des adolescents... à mi-temps, puisque j’assume aussi la co-responsabilité du Service Diocésain des Vocations de mon diocèse.
J’ai décidé d’en faire part au Conseil d’Etablissement du Collège où se retrouvent des professeurs, des élèves, des parents, ainsi que des membres du personnel administratif :
une vingtaine de personnes.
Il y eut d’intéressantes réactions ; on brasse des idées diverses ; on bâtit un projet sur deux années scolaires, qui associe toute la maison à une lecture pratique du document, avec le souci de le faire " nôtre " et ceci en quatre étapes :

  • Premier semestre 76-77, création d’ateliers homogènes de parents, d’élèves, de professeurs, correspondant à chaque chapitre du document.
  • Constitution d’un " livre blanc " rassemblant les conclusions établies par les dix-neuf ateliers qui ont fonctionné régulièrement, mais chacun à son rythme.
  • Etablissement par des ateliers diversifiés ( parents, professeurs, élèves) de propositions concrètes à mettre en oeuvre dés l’année scolaire 77-78.
  • Organisation d’un Congrès-Maison qui mettra sur pied une " charte " : " Notre institution au service des jeunes ".
    S’il est impossible actuellement d’établir un bilan précis d’une pareille entreprise, à l’étape où nous sommes cependant, il me semble passionnant que notre " Communauté éducative " - au moins pour une minorité de ses membres se soit laissée interroger, bousculer, par l’Evangile. Plus et mieux qu’auparavant, tout au long de ces derniers mois, nous sommes demandés ce que le Seigneur voulait de nous, ensemble. Je ne me sens pas écartelé entre mes deux " ministères ". Voire même, si je relis avec attention les desiderata exprimés par les ateliers qui avaient choisis l’étude du cinquième thème, "donner un sens à sa vie", j’y relève au hasard quelques souhaits qui me paraissent significatifs :

 

  • Organiser plus rationnellement et systématiquement le travail manuel : l’école n’est-elle pas au service de tout l’homme, de tout l’enfant, pour lui permettre de mieux réaliser toutes ses richesses... en tous domaines ?
  • Pour l’orientation, préférer les aptitudes aux débouchés.
  • S’opposer à cette mentalité qui dévalorise les sections A, B, D par rapport à C.
  • Etre tolérant, respecter les valeurs religieuses : ne pourrait-on pas trouver dans ce voeu la meilleure occasion de montrer ce qu’est l’Eglise : lieu d’annonce de la Parole non pour contraindre mais pour libérer. Telle est sa vocation !
  • Accepter d’être appelé - s’en réjouir : c’est avoir une raison de vivre et d’espérer, la meilleure !

 

Reims,

Projets d’une Commission diocésaine et pastorale

La commission diocésaine de pastorale de l’Enseignement catholique avait décidé de travailler en lien avec le service diocésain des vocations pendant l’année scolaire 1977-1978, pour aider parents, professeurs et élèves à prendre mieux conscience de leur vocation humaine et chrétienne, et à former des " communautés appelantes ".
Dans chacun des cycles, est proposé un programme différent.
Pour les Seconds cycles, en lien avec la commission pédagogique, les professeurs peuvent réfléchir sur la manière dont nous prenons en compte l’ensemble de la vie d’un jeune.
Pour les parents et les éducateurs engagés dans la catéchèse, est organisée une réflexion biblique, anthropologique et ecclésiologique sur le thème de l’appel, au cours de trois soirées dans le premier trimestre.
Des prolongements pédagogiques seront proposés et vérifiés ensemble au second trimestre.
Avec les animateurs, nous proposons deux temps forts pour les élèves des seconds cycles.
Pour les premiers cycles, nous avons pensé pouvoir proposer aux parents et éducateurs engagés dans la catéchèse, la réflexion sur le thème de l’appel. Nous organisons une conférence-débat, largement ouverte à tous les parents et professeurs, sur ce thème de la vocation, animée par un responsable du service national des vocations.
Pour les quatrième-cinquième-cinquième, nous avons prévu pendant le Carême, une célébration pour marquer notre lien avec l’Eglise locale et la diversité de nos vocations. Cette célébration serait préparée par l’ensemble des écoles. Enfin, nous préparerons des pistes de récollections.
En travaillant pendant toute une année en lien avec le service des vocations, nous voudrions favoriser la prise de conscience par tous de ces quelques idées-force :
- Le problème de la vocation dépasse singulièrement celui des vocations sacerdotales ou religieuses et concerne tout homme " appelé " par Dieu à remplir le rôle irremplaçable qu’il lui réserve.
- Cet appel de Dieu passe par des voix ( et des voies ) humaines inattendues et chacun doit être à l’écoute, attentif pour entendre et comprendre cet appel.
- Chacun enfin est appelé par Dieu à travers les voies multiples que le Seigneur utilise et a en même temps lui-même mission de Dieu pour appeler les autres à son service.
Le document sur " Vocation, projets de vie " ( No 322 ), qui a été publié dans E.C.D. de septembre 1976, pourra servir de base à notre travail.

Cambrai,

Dans un Centre de formation pédagogique

Ce qui vient d’abord à la pensée c’est que le Centre de Formation Pédagogique n’a rien à voir avec une pastorale des vocations.
Et pourtant, les stagiaires sont de plus en plus désireux de vivre au nom de leur foi leur profession future. La catéchèse qui est vécue au C.F.P. et les temps forts qui rassemblent les volontaires ( retraites ou récollections ) manifestent de plus en plus le souci de confronter vie et foi.
Les questions relatives au sens de la vie, si fondamentales aujourd’hui, ne sont pas sans retentissements dans une communauté éducative où la préparation à un mariage prochain et la formation professionnelle interrogent souvent en même temps ceux et celles qui sont réunis. La qualité de ce qui est vécu quotidiennement dans cette communauté d’Eglise qu’est le C.F.P. éveille des réponses et un art de vivre où chacun doit se déclarer et construire. La coresponsabilité ecclésiale devient peu à peu effective et appelante.
Par ailleurs, les médiations que demande une pastorale des vocations ne sont-elles pas à chercher du côté de ces futurs enseignants qui sont résolus à faire exister les autres selon leurs richesses ?
Ces quelques convictions ont d’abord été implicites :
membres du C.F.P. et serviteurs d’une pastorale des vocations ont d’abord travaillé séparément avant de se rendre compte qu’ils avaient en commun beaucoup de choses.
Toutefois, ces convictions ne se réalisent pas encore en termes d’organisation et de structure. Un travail reste à poursuivre, il est immense. Il ne consiste pas à mettre "en plus" quelque chose, mais à conduire jusqu’en ses dernières exigences un travail d’éducation et d’éveil qui se fait en Eglise et pour l’Eglise, entendue au sens que lui donne Saint Paul ( Eph. IV ). .

Directeur de la Publication : Claude Cugnasse. CPPP 57916
Centre National des Vocations 106 rue du Bac, 75007 Paris