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Voir plus loin
Deux prêtres, animateurs des groupes de formation en monde universitaire, nous font part de leurs recherches sur le cheminement des jeunes vers le sacerdoce dans le contexte actuel. Ils insistent spécialement sur l’importance et les conditions de la maturité humaine et chrétienne de ces jeunes, et sur la nécessité de respecter les étapes d’un long cheminement.
Leurs réflexions s’appuient sur les nombreux contacts qu’ils ont eus avec des terminales ou des étudiants universitaires, notamment dans le cadre des sessions de Solignac et des équipes de formation de 1ère année.
Mais, au-delà des problèmes particuliers à l’âge de ces jeunes, à leur insertion dans le monde universitaire et à leur mode propre de cheminement, les questions posées par cet article ne manqueront pas d’interpeller tous les éducateurs de jeunes en recherche de vocation, quels que soient le secteur où ils travaillent et les jeunes qu’ils rencontrent.
Il serait même souhaitable que les réactions des lecteurs, voire leurs recherches analogues, soient connues des auteurs de ce texte ou d’autres rédacteurs du dossier "JEUNES &. VOCATIONS" et contribuent ainsi à la recherche commune.
Merci.
C’est dans un environnement de vie profane que se détermine normalement un projet de sacerdoce et qui s’en étonnerait quand le Concile rappelle que la condition d’existence de l’Eglise est celle d’une "servante au coeur du monde" ? L’expérience ecclésiale d’aujourd’hui nous reporte plus directement et plus clairement à la vocation des Apôtres entendue en pleine condition humaine d’âge, de maturité, d’assurance.
D’ailleurs, tant qu’un jeune n’a pas été à même de ressaisir sa vocation au sacerdoce à travers-la conjoncture de sa vie "séculière", tant qu’il n’a pas reçu au coeur du monde les questions sur sa foi en Jésus-Christ et sur sa mission d’Eglise, il "soupçonnera" son projet d’être prêtre et le mettra - au moins partiellement - au compte soit de son éducation, soit de la problématique de ses maîtres ou de ses parents. L’éducation au sacerdoce n’est pas tant l’affaire d’une institution ou la tâche de spécialistes que la rencontre personnelle de Dieu par un homme, dans le déroulement des années qui qualifient son humanité.
Les éducateurs de séminaires ou de foyers, les responsables, laïcs ou prêtres, des équipes de recherche en action catholique désirent, exigent même une formation humaine acquise le plus possible en plein vent de l’existence (1). Les uns accordent grand prix aux temps de stages ou aux comportements de vacances, les autres fondent le projet de sacerdoce sur l’enracinement humain et les engagements apostoliques (2). Vouloir retarder à la dernière minute l’affrontement entre la volonté d’être prêtre et l’épreuve que le monde ne laissera pas - et ne cessera pas- de lui offrir, ce serait accumuler des difficultés supplémentaires qu’on a toujours peine à imaginer avant qu’elles ne surgissent.
Tout le monde s’accorde à dire que l’acceptation du sacerdoce doit être le fait d’un être libre, d’un homme qui a pris - comme on dit en ascèse traditionnelle - le "gouvernement de soi-même", d’un chrétien enfin qui vit au sein d’une Eglise sanctifiée et missionnaire (3). Mais comme il est curieux de constater que, devant le tracé d’un tel chemin à parcourir jusqu’au sacerdoce, les uns parlent d’exigences préalables évidentes, les autres d’ambitions démesurées qui retardent excessivement l’ordination à une époque où le besoin des prêtres paraît urgent. Deux années de vie en équipe avec des jeunes sortant de terminale, trois sessions de vacances en 1971 avec plus de 80 d’entre eux sur une recherche du sacerdoce nous ont aidés à saisir bien des situations psychologiques différentes et nous invitent à partager les soucis des éducateurs de lycées ou collèges, de séminaires ou foyers.
1) VERS UNE DEMARCHE D’HOMME LIBRE
Quand il arrive aux années de sa majorité, un jeune a besoin de sentir la terre sous ses pieds, d’être planté au milieu des siens, reconnu d’eux et les connaissant bien, intégré au moins à ceux de son âge et compté comme l’un d’entre eux.
A quoi servirait, on se le demande, une pédagogie de protection, de précaution... ou de préservation quand il lui faut encore connaître les fortes contestations sur sa foi - et quel jeune de 20 ans aujourd’hui échappe à cette sorte de baptême du feu - et sur son projet de sacerdoce ? (4).
Le temps est venu d’exercer sa liberté d’homme, mais en est-il capable ? Quand il entre en université, il doit pouvoir marcher seul, responsable de lui-même, maître de ses relations et, autant que possible, à l’aise dans sa peau. S’il veut assurer un témoignage personnel, il doit savoir qu’il n’aura finalement plus d’autre référence que celle de ses options et convictions intimes. Est-il préparé à cela ? (5)
La libre disposition de lui-même, réclame qu’il assure son avenir. Il ne suffit pas de répondre de soi librement dans le présent, il est nécessaire d’être dégagé de l’inquiétude que tout avenir incertain fait peser sur le présent. On l’a bien vu, il n’y a pas si longtemps dans les recherches sociologiques concernant la situation prolétarienne du monde ouvrier.
- Le sacerdoce n’est pas un métier, il ne donne pas de soi une aptitude à parler aux hommes de son temps, il ne fait pas l’économie d’une assurance humaine que les hommes sont en droit d’attendre du prêtre. Quand un prêtre exerce son sacerdoce, il doit pouvoir s’appuyer sur l’homme qu’il est lui-même devenu. Nous croyons qu’un pouvoir professionnel constitue un élément non négligeable de l’intervention et du témoignage près des contemporains.
- Peu de jeunes savent qu’il est de la plus haute convenance qu’en parcourant les années de cheminement vers le sacerdoce, on tienne aussi fort à la profession qu’au sacerdoce lui-même. C’est pourtant un raisonnement de simple santé humaine et spirituelle que de faire grandir l’homme et le chrétien avant que l’heure soit venue de lui conférer le sacerdoce. Il y va de la qualification élémentaire, intellectuelle, et culturelle (6). A tout homme il est demandé de se soumettre à une telle ascèse. Pourquoi les prêtres en seraient-ils dispensés, eux sur qui reposeront demain comme aujourd’hui une charge ecclésiale lourde ?
- Beaucoup de jeunes connaissent au moment de leur entrée en faculté un désarroi intérieur qui a pour origine la décision arbitraire de faire des études sans connaître l’orientation professionnelle et donc l’objectif à atteindre. Cela semble énorme de l’écrire aussi nettement. Et pourtant, il est de toute évidence qu’une pareille direction dont dépendra le reste de l’existence ne devrait pas se prendre dans les semaines qui précèdent un baccalauréat ou - ce qui est pire mais nullement chimérique - une inscription universitaire. Et les motifs du choix doivent aussi être élaborés, explicités, exprimés, critiqués. Même si l’ensemble des jeunes qui entrent en université n’ont pas de projet professionnel précis, il apparaît essentiel que des responsables d’un cheminement "vers le sacerdoce se préoccupent longtemps à l’avance de cette question en raison même de l’équivoque qu’elle peut entretenir au cours de la vie universitaire (sacerdoce et profession ? sacerdoce ou profession ?) (7).
- Plus une orientation professionnelle est précise, conduite avec intelligence et assurance, plus le projet de sacerdoce trouve sa place. Nous croyons que c’est à l’intérieur d’un cheminement long qu’on se convertit à être prêtre. Toutefois, il faut savoir être lucide et ne pas trop encourager un certain nombre de carrières sociales, éducatives, médicales qui peuvent être des substitutions de vocations sacerdotales adolescentes ou enfantines et qui de ce fait embarrassent par leur ambiguïté l’évolution vers le sacerdoce.
Ainsi nous paraît-il présomptueux de télescoper les étapes qui font un homme assuré dans sa propre existence. Le choix du sacerdoce doit être décidé par un homme, libre aussi bien de son avenir que de son passé ou de son présent. La seule dépendance que nous nous reconnaissons est celle de la fidélité à Jésus-Christ, à son peuple et aux hommes vers lesquels nous sommes envoyés. Les apôtres, nous dit l’Evangile, "quittèrent tout pour suivre le Christ". Encore faut-il, pour donner du prix et même du contenu au choix qu’on fait, avoir quelque chose à quitter, quelque chose comme une sécurité humaine, un pouvoir professionnel, un service utile à la société !
2) VERS UNE MAITRISE DE L’ AFFECTIVITE.
Les étapes de développement qui conduisent un jeune à assumer son pouvoir affectif sont importantes et doivent être respectées sous peine de voir un jour la nature se regimber irrépressiblement contre une décision de principe.
Il n’est pas sûr qu’une proposition hâtive du célibat favorise le franchissement des seuils. Quand on a entendu parler avec tant d’estime des mérites ou des valeurs supérieures du célibat sur le mariage, quand on a souligné les vertus "surnaturelles" du premier et seulement les vertus "naturelles" du second, quand on a confondu des qualités dont se nourrit notre idéal d’homme - générosité, ouverture du coeur, disponibilité, dévouement, réciprocité d’amour avec Dieu - avec les effets du célibat dans la vie des hommes qui l’acceptent, on court le risque d’exercer, dans les années de recherche de vie, une certaine pression morale et de suppléer au discernement personnel (9). Un cheminement vers le célibat n’est pas une école de sur-moi ni un rêve entretenu de ce qui serait le plus beau. Il est malheureusement facile de bloquer ainsi, par des préalables, l’évolution d’un être humain et même de fausser son regard critique.
Si mariage et célibat ont, l’un et l’autre, leurs vertus humaines et spirituelles, il y a pourtant de fait des hommes qui choisissent le célibat. "Ils y sont appelés" dit le Christ ; mais cet appel est moins le fait d’une découverte de supériorité d’un état de vie sur un autre qu’une décision personnelle d’être pris tout entier, et dans la condition célibataire où l’on se trouve, pour le service du Royaume et pour le témoignage qu’on en donnera jusque dans le célibat.
Pour cela, on ne choisit pas soi-même... au nom de quelque principe ou de quelque idéal entrevu. On y est appelé par grâce... et la grâce se lit dans un réseau de relations. Où se dévoilerait-elle autrement que dans la manière d’aller aux autres : à ses parents, à ses amis, à ses camarades garçons et filles, membres d’une même équipe, participants d’un même travail, solidaires de mêmes efforts et de même loisirs ? Il faut avoir expérimenté que les possibilités de rejoindre et de rencontrer les autres, de s’approcher d’eux, n’ont pas toutes la même qualité, la même densité, le même mode d’expression. Faut-il s’étonner qu’en faisant l’apprentissage de son ouverture aux autres, un jeune homme connaisse des risques et, dans son coeur, des combats éprouvants ? (8). Qui de nous, prêtres, peut dire que son projet de célibat n’a pas connu des heures critiques au temps de sa-jeunesse, et même ne s’en est pas nourri dans la grâce de Dieu ? Il importe absolument qu’un jour ce "don de Dieu" devienne humainement cohérent et repérable dans la conduite de la vie. Alors, mais alors seulement, il appartient tout entier à l’homme qui le choisit délibérément.
3) VERS UNE TAILLE D’HOMME EVANGELIQUE
La caractéristique fondamentale d’un chrétien est une conversion intérieure en vue d’un rôle à jouer ou,.si l’on préfère, d’une mission à remplir au milieu des hommes. Cela commence au baptême.
Il faut tenir en même temps à l’expérience intime de sa foi en Jésus-Christ et à l’expérience ecclésiale de la charge apostolique. Peut-on nourrir sa foi sans être envoyé ? Peut-on être envoyé sans savoir au nom de quelle découverte ? C’est pour avoir négligé le cheminement de la conversion ou l’urgence d’annoncer l’Evangile qu’on a, selon les cas, rangé la prière et la vie sacramentelle parmi les pratiques cultuelles ou au contraire les engagements apostoliques parmi les activités supplémentaires du chrétien (9).
- L’événement de Taizé, les regains de fortune que connaissent aujourd’hui cercles de prière, recherches liturgiques, études bibliques, groupes de vie spirituelle de toute nature (parfois mal reliés à l’Eglise) en disent long sur l’appétit des jeunes à redécouvrir la vie personnelle ou communautaire des fils de Dieu... et sur notre inaptitude à saisir ce renouvellement d’intérêt. Il nous prend à contre-pied. Il est cependant une mentalité de fils de Dieu qu’on n’acquiert et ne développe en soi que par une authentique habitude de prier, par une fréquentation sacramentelle, par une présence en nous de la parole de Dieu entendue ensemble. Bien sûr, on relèverait des ambiguïtés dans ces tentatives spirituelles, personnelles ou collectives, qui partent de soucis de vérité, de besoins de communion, de chaleur humaine, de désirs fervents. Mais quel prix accordons-nous à ces efforts pour rejoindre précisément Celui qui met au coeur de l’homme le désir et l’amour de la vérité ? "Vos pensées ne sont pas mes pensées, disait Yahvé à Isaïe (55, 9) et vos voies ne sont pas les miennes". Qui sommes-nous, éducateurs de la foi et conducteurs des enfants de Dieu, pour mesurer les expériences intérieures vécues par les jeunes ? "A tous ceux qui L’ont reçu, il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu" ; et il arrive au Seigneur de susciter des jeunes qui accueillent son Esprit (Joël, 3, 6).
Et quand nous sommes conduits nous-mêmes à aider des jeunes à entrer dans le langage de Dieu, pouvons-nous échapper aux tentations de l’interprétation facile ou ce qui n’est pas beaucoup mieux, de la documentation foisonnante et de l’analyse structuraliste pour contribuer modestement à la rencontre de Dieu et de son peuple jeune ? La génération que nous voyons monter accueille sobrement et sérieusement la Parole de Dieu : c’est probablement une des chances spirituelles de notre époque et la nourriture la plus vitale pour la foi aujourd’hui.
- Il devient clair aussi que le choix du ministère sacerdotal se détermine le plus souvent - et en tout cas se fortifie toujours - au sein d’un engagement apostolique éprouvé ; non pas épisodique mais durable et significatif de l’homme qu’on est devenu (10).
Autant qu’on puisse mesurer la responsabilité de l’homme qui accueille la grâce du sacerdoce, c’est probablement dans sa part d’engagement apostolique qu’il faut aujourd’hui la chercher.
C’est par là que passe la conversion à être prêtre (11) et que le Christ conduit les siens jusqu’à la charge "capitale", c’est-à-dire le pouvoir de Le représenter, Lui, tête de son Eglise. Aussi le grand effort à continuer dans le Peuple de Dieu est-il dans la redéfinition des rôles que chaque membre exerce pour le bien de tous.
Cela ne doit certes pas nous faire oublier la diversité des formes d’engagement et toutes ne conduisent pas immédiatement aux responsabilités apostoliques. Mais que les évêques et les prêtres animés du souci de toute l’Eglise se mettent en garde eux-mêmes contre toute systématisation - ou ce qui revient au même - contre toute réduction arbitraire, si séduisante soit-elle, de la diversité des engagements et donc de la variété des cheminements (5).
Vient alors le temps où l’expérience chrétienne à la fois intérieure et apostolique, requiert une confrontation. Le "lieu" de cette confrontation ne peut être que l’Eglise même de Jésus-Christ qui prend la forme d’une équipe. On tâchera de saisir ensemble.
ce qui distingue : les langages personnels de prière, les visions du monde relatives aux études qu’on a commencées, les options politiques, les idéologies sous-jacentes, les héritages sociologiques, les initiatives en université, les services et engagements au nom de la mission de l’Eglise.
ce qui rassemble : le même attachement à Jésus-Christ, la perspective du même et unique sacerdoce, l’amour d’une Eglise entrevue comme le mystère profond du rassemblement des hommes.
ce qui manque : dans les milieux de vie d’origine ou d’université pour que soit annoncé et partagé le salut offert par Jésus-Christ et que soient suscitées des communautés évangéliques de foi et de témoignage. Et Dieu sait qu’en université surtout, l’Eglise, comme peuple vivant, est peu manifestée.
Ainsi, peu à peu, les aspects par trop affectifs qui au cours des années précédentes reliaient à l’Eglise, se dépassent et se purifient. L’attachement sentimental, ou - ce qui est une autre forme d’affectivité - la contestation qu’on lui portait, cèdent la place à une conscience profonde d’appartenance : c’est une "nation sainte" où se rencontrent des saints, un peuple divers qui se souvient de son unique Seigneur. Chacun y trouve interpellation, sens de la marche, espoir pour les hommes (1). C’est tout cela que prépare et signifie l’entrée dans un Groupe de Formation en Université.
Si Dieu veut faire l’économie des étapes qui façonnent un homme, c’est son affaire : il en décide d’ailleurs ainsi de temps à autre. Mais à nous, éducateurs, il demande de faire comme s’il fallait "patience et longueur de temps". Une créature se développe jusqu’à l’âge adulte selon des seuils de croissance : Le Christ lui-même n’a pas voulu échapper à cette loi de nature.
Or il est souvent dans notre pouvoir de contribuer ou au contraire - hélas, avec les meilleures intentions - de faire obstacle à la formation d’un homme qui se convertit au sacerdoce. Aucun de nous, certes, ne voudrait entraver la course et nous ne le faisons qu’à notre insu.
Au moins, ne brûlons pas les étapes pour ne pas provoquer l’accident et faire capoter la voiture avant l’arrivée de la course. Un bon conducteur sait comment il faut favoriser l’attelage, ménager les enthousiasmes, organiser les forces du voyage. Il voit loin, plus loin que les expédients ou les mirages. Car c’est vrai qu’on peut réussir momentanément à préserver, à persuader ou même à user d’influence personnelle. L’essentiel pour un éducateur est sans doute de servir la nourriture d’étape, d’éveiller les forces de réserve pour la poursuite du parcours et de laisser ouverte la route qui mène... à la charge que Dieu propose.
J.P. MARCHAND, B.P. 38 - 94 FONTENAY S/BOIS
F. BADICHE, 10, rue d’Avesnières - 53 LAVAL
novembre 1971
ELEMENTS DE REFERENCE ET DE BIBLIOGRAPHIE
(1) | J.P. MARCHAND | JALONS POUR UNE PEDAGOGIE EN G.F.U. |
Jeunes et Vocation 3/70 - II | ||
Assises 70 | ELEMENTS QUI MARQUENT UNE PROGRESSION VERS LE SACERDOCE Atelier n° 4 |
|
(2) | A. BRESSOLLETTE | FORMATION DES PRETRES EN FRANCE Vocation n° 254, avril 71 (p 227) |
(3) | Assemblée plénière de l’Episcopat Français 66 : 6 requêtes pour un 1er cycle (5e requête). | |
(4) | Alain GUILLOUX | ENJEU DES G.F.U. Vocation n° 254, avril 71 (p 219) |
(5) | TEMOIGNAGE DES AUMONIERS D’ETUDIANTS : Foi et Vie dans l’Eglise. Toulouse 2 mai 71 |
|
(6) | Assises 69 | MOTIVATIONS SOUS JACENTES AU DESIR D’ACQUERIR UNE COMPETENCE PROFESSIONNELLE. |
Assises 71 | PROJET SACERDOTAL ET ETUDES Atelier n° 2 | |
(7) | R. SALAUN | PRETRE A PLEIN TEMPS OU A TEMPS PARTIEL - Vocation n° 251, juillet 70 - Lettre aux Communautés M.D.F.N. (p 35) |
(8) | Assises 7l | CONDITIONS A METTRE EN OEUVRE PROGRESSIVEMENT POUR UN EQUILIBRE AFFECTIF : atelier n° 3 |
Session B | ||
Solignac 71 | CONSISTANCE HUMAINE D’UN PROJET DE CELIBAT | |
(9) | Assises 70 | VIE SPIRITUELLE DANS LES G.F.U. : Atelier n° 2 |
(10) | Assises 70 | LA RESPONSABILITE ET L’ENGAGEMENT APOSTOLIQUE Atelier n° 1 |
(11) | J.P. MARCHAND | NOTE N° 2 SUR LE 3° TEMPS DES G.F.U., Juillet 71 |