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Vivre la mission ensemble, sur les pas des fondateurs
Ils sont nombreux, aujourd’hui, les baptisés qui marchent avec des religieux sur les pas des fondateurs des instituts. La plupart sont laïcs, quelques uns sont diacres ou prêtres. On leur donne des noms divers : associés, collaborateurs, membres des Fraternités, amis, proches, volontaires, etc. Tous reconnaissent dans les fondateurs une figure qui les appelle à suivre Jésus-Christ, et à Le suivre en étant plus particulièrement éclairés par leur chemin évangélique. Qu’en est-il alors de la mission particulière des laïcs ?
Commençons par ces laïcs qui, au premier abord, semblent être davantage du côté de la mission. Certains dirigent un établissement congréganiste. D’autres sont dans les équipes de direction, ou membres de groupes qui se retrouvent régulièrement pour mieux vivre leur travail à la lumière de l’intuition évangélique du fondateur. D’autres encore viennent pendant quelques heures ou plusieurs années, apporter une aide pour une œuvre particulière : animation de groupes de jeunes, service des plus pauvres, soutien logistique, service humanitaire à l’étranger, animations spirituelles, insertion dans des instances très proches des horizons prioritaires de l’institut, etc. Une poignée d’entre eux reçoivent une lettre de mission des supérieurs majeurs. Même si tous ne vivent pas cet engagement au quotidien avec des religieux, on peut parler d’une collaboration.
Regarder cette réalité sous le seul angle de la collaboration, conduirait, en fait, à la tronquer. En effet, par des formations fortement structurées ou plus allégées, selon les cas, ces laïcs sont mis en relation avec le fondateur. Cet établissement, cette association, cette entreprise ne sont pas seulement ceux des religieux. Ils sont issus de l’expérience de vie d’un homme ou d’une femme à l’origine de l’institut. Alors la référence des collaborateurs n’est plus la pratique des religieux : « Que veulent-ils, les frères ? », « Qu’auraient-elles fait, les sœurs ? » Leur référence est le fondateur lui-même : « Comment aurait-il agi, lui, dans cette situation ? », « Pourquoi insistait-il tant sur ce point ? » Un déplacement s’opère, il va des religieux au fondateur devenu centre et support de la collaboration mutuelle. Alors des éducateurs des collèges des Frères de Ploërmel deviennent des éducateurs mennaisiens. Des personnes qui travaillent avec les sœurs du Cénacle dans l’animation des retraites se disent fils et filles de Thérèse Couderc. Des journalistes de Bayard-Presse découvrent dans le Père d’Alzon une référence pour être professionnels des media aujourd’hui.
Mais un autre déplacement lui succède car le fondateur « modèle des religieux, devenu modèle de ceux qui collaborent avec eux », renvoie lui aussi à plus grand que lui : Jésus-Christ connu, aimé et servi en lui-même. Les nouveaux héritiers des fondateurs sont d’abord disciples du Christ, invités par Lui à prendre en ce lieu de leur collaboration, le chemin d’une vie baptismale éclairée par celle du fondateur. Là, suivre le Christ qui s’est révélé sous un visage particulier au fondateur, puis aux religieux et à eux aussi désormais. Une sorte de transfiguration vient éclairer ce qui est à vivre : lumière et envoi.
Tous les collaborateurs des religieux ne suivent pas cet itinéraire qui va des religieux aux fondateurs, des fondateurs au Christ. Dans l’Enseignement catholique, par exemple, la nuance entre « respecter » et « promouvoir » le caractère propre le souligne assez. Mais ceux qui empruntent ce chemin se savent appelés dans le cadre même de leur travail à accueillir et annoncer avec les religieux ce visage particulier du Christ – y compris institutionnellement et structurellement.
Prenons deux exemples. Le premier concerne des adultes. Sur le lieu de leur travail, ils ont découvert Jeanne Delanoue, Jean-Baptiste de La Salle ou Jeanne Jugan. A leur suite, mais différemment, ils cherchent à se laisser illuminer par le Christ Serviteur ou Bon Pasteur, pour servir les pauvres. Ils se sentent appelés à emboîter ses pas, non pas d’abord dans l’ensemble de leur vie personnelle, mais dans leur vie professionnelle et pour lui donner chair dans un établissement ou une association. Aux yeux de l’Eglise, ces lieux de travail ou d’engagement, sont des œuvres de l’institut. Il en a responsabilité. Le travail professionnel de ces laïcs, leur collaboration avec les religieux est donc une aventure d’Eglise à laquelle ils sont conviés. Seuls quelques-uns reçoivent mission de l’institut, d’emblée, par exemple en devenant chefs d’établissement. Mais tous sont invités à se situer à ce niveau du caractère évangélique de l’œuvre. Il en va de l’annonce de Jésus-Christ, ensemble, et à la manière du fondateur ou de la fondatrice.
Le second exemple concerne des jeunes qui partent pour un temps fixé en service humanitaire, et qui vivent dans une communauté ou proche d’elle. A travers les religieux ou religieuses ils approchent un art de vivre. Par eux, ils connaissent la fondatrice ou le fondateur. Sur ses pas, ils découvrent le sens de leur insertion : non pas seulement un service humanitaire, mais dans ce service, l’expression d’une passion pour l’humanité enracinée dans celle de Jésus. Aimer, comme Lui a aimé. Aimer, comme le fondateur ou la fondatrice l’a fait, illuminé par Jésus en Croix, ou Jésus attentif à chacun sur les routes de Palestine, ou Dieu Providence… Eux aussi sont invités à participer à cette aventure évangélique comme à Cana, soit en apportant les cruches comme les serviteurs, soit en étant attentifs aux personnes et dialoguant avec Jésus comme Marie, soit en se mettant à l’écoute du Maître qui dit ce qu’il faut faire. Au cours de leur engagement, parfois avant, voire même après, certains d’entre eux perçoivent également que le Christ les invite à avancer eux aussi désormais sur le chemin des fondateurs. Là se trouve aujourd’hui le souffle de leur vie chrétienne. Après ce service humanitaire, et donc dans un autre cadre, ils veulent continuer à vivre de Jésus-Christ et l’annoncer, de cette manière. A cause de cela, pour cela, ils veulent garder des liens avec les religieux ou les religieuses de cet institut. Plus tard, opteront-ils pour la vie laïque ou celui de la vie religieuse ?
Ainsi, aujourd’hui, des laïcs sont conviés à participer activement à la mission confiée par l’Eglise à des religieux. Ils sont acteurs de cette mission. Comme toujours, ils peuvent l’être de différentes manières. Mais, plus qu’hier, ils sont invités à prendre eux aussi pour cela le chemin des fondateurs. En ces lieux, leur mission dans l’Eglise ne devient pas un succédané de celle des religieux ! Elle relève, comme partout, d’une irrigation du monde par la saveur de l’Evangile, mais, ici, une saveur qui a le goût particulier de la figure évangélique propre de cet institut.
Le jeu des relations entre religieux et laïcs ne se situe pas seulement sur le terrain institutionnel. Une longue tradition d’Eglise met en marche, ensemble, religieux et laïcs. Il suffit de se souvenir de François ou Dominique. Or, aujourd’hui, on voit apparaître un double rayonnement de ces formes de vie évangélique. D’une part, depuis environ vingt-cinq ans, des groupes de baptisés font marche avec la plupart des instituts car ils veulent vivre leur vocation propre de laïcs dans la ligne des fondateurs. Il y a donc là, en cours, une sorte de démultiplication progressive des GVE (Groupements de vie évangélique). D’autre part, à côté de ces groupes typiquement centrés sur la vocation laïque, naissent d’autres groupes. Leurs membres ne cherchent pas d’abord à vivre cette même vocation en toutes ses dimensions. Ils veulent prendre le chemin des fondateurs pour vivre un point spécifique de leur vie : le mariage, le handicap, le métier, voire même le fait d’être jeunes… On voit donc apparaître tout un dégradé de groupes aux projets typés. Or, conjointement, loin de se répandre en une dispersion maximale, ces groupes font alliance avec l’institut. Ils ne constituent pas une couronne de satellites autour de l’institut. Pas du tout ! Au contraire, tous ensemble ils constituent ensemble une Famille : institut, groupes aux projets typés, groupes centrés sur la vocation laïque – et parfois, de même, groupes centrés sur la vocation sacerdotale – et groupes liés au partage d’un travail ou d’un service cités plus haut. Ils le font pour deux motifs : l’un issu d’une expérience, l’autre qui tient d’un projet. L’expérience commune est celle d’une transfiguration : découvrir comme une référence privilégiée un visage particulier de Dieu qui est à la fois révélation de lui-même et attente de révélation dans la société – visage qui a été la lumière prédominante et le leitmotiv de la vie du fondateur ou de la fondatrice. Le projet commun est celui de s’épauler ensemble, entre différents groupes, pour accueillir ce visage et lui donner chair diversement dans la société. L’Evangile accueilli et proclamé est au centre. Dans ces Familles évangéliques, il en va fondamentalement de la mission.
Dans ce contexte, la mission propre de chaque groupe particulier demeure : celle des laïcs rassemblés autour de leur vocation propre, celle des groupes aux projets spécifiques ou institutionnels, celle des instituts de vie consacrée… Pour ces derniers, leur mission communautaire de « passeurs vers la source » se trouve renforcée. Il en est de même pour les laïcs appelés à irriguer toute la société, sous le mode d’un engagement individuel ou collectif. Mais pour tous, la mission a la saveur et la couleur de l’intuition évangélique des fondateurs.
Du même auteur, sur ce sujet
Commençons par ces laïcs qui, au premier abord, semblent être davantage du côté de la mission. Certains dirigent un établissement congréganiste. D’autres sont dans les équipes de direction, ou membres de groupes qui se retrouvent régulièrement pour mieux vivre leur travail à la lumière de l’intuition évangélique du fondateur. D’autres encore viennent pendant quelques heures ou plusieurs années, apporter une aide pour une œuvre particulière : animation de groupes de jeunes, service des plus pauvres, soutien logistique, service humanitaire à l’étranger, animations spirituelles, insertion dans des instances très proches des horizons prioritaires de l’institut, etc. Une poignée d’entre eux reçoivent une lettre de mission des supérieurs majeurs. Même si tous ne vivent pas cet engagement au quotidien avec des religieux, on peut parler d’une collaboration.
Regarder cette réalité sous le seul angle de la collaboration, conduirait, en fait, à la tronquer. En effet, par des formations fortement structurées ou plus allégées, selon les cas, ces laïcs sont mis en relation avec le fondateur. Cet établissement, cette association, cette entreprise ne sont pas seulement ceux des religieux. Ils sont issus de l’expérience de vie d’un homme ou d’une femme à l’origine de l’institut. Alors la référence des collaborateurs n’est plus la pratique des religieux : « Que veulent-ils, les frères ? », « Qu’auraient-elles fait, les sœurs ? » Leur référence est le fondateur lui-même : « Comment aurait-il agi, lui, dans cette situation ? », « Pourquoi insistait-il tant sur ce point ? » Un déplacement s’opère, il va des religieux au fondateur devenu centre et support de la collaboration mutuelle. Alors des éducateurs des collèges des Frères de Ploërmel deviennent des éducateurs mennaisiens. Des personnes qui travaillent avec les sœurs du Cénacle dans l’animation des retraites se disent fils et filles de Thérèse Couderc. Des journalistes de Bayard-Presse découvrent dans le Père d’Alzon une référence pour être professionnels des media aujourd’hui.
Mais un autre déplacement lui succède car le fondateur « modèle des religieux, devenu modèle de ceux qui collaborent avec eux », renvoie lui aussi à plus grand que lui : Jésus-Christ connu, aimé et servi en lui-même. Les nouveaux héritiers des fondateurs sont d’abord disciples du Christ, invités par Lui à prendre en ce lieu de leur collaboration, le chemin d’une vie baptismale éclairée par celle du fondateur. Là, suivre le Christ qui s’est révélé sous un visage particulier au fondateur, puis aux religieux et à eux aussi désormais. Une sorte de transfiguration vient éclairer ce qui est à vivre : lumière et envoi.
Tous les collaborateurs des religieux ne suivent pas cet itinéraire qui va des religieux aux fondateurs, des fondateurs au Christ. Dans l’Enseignement catholique, par exemple, la nuance entre « respecter » et « promouvoir » le caractère propre le souligne assez. Mais ceux qui empruntent ce chemin se savent appelés dans le cadre même de leur travail à accueillir et annoncer avec les religieux ce visage particulier du Christ – y compris institutionnellement et structurellement.
Prenons deux exemples. Le premier concerne des adultes. Sur le lieu de leur travail, ils ont découvert Jeanne Delanoue, Jean-Baptiste de La Salle ou Jeanne Jugan. A leur suite, mais différemment, ils cherchent à se laisser illuminer par le Christ Serviteur ou Bon Pasteur, pour servir les pauvres. Ils se sentent appelés à emboîter ses pas, non pas d’abord dans l’ensemble de leur vie personnelle, mais dans leur vie professionnelle et pour lui donner chair dans un établissement ou une association. Aux yeux de l’Eglise, ces lieux de travail ou d’engagement, sont des œuvres de l’institut. Il en a responsabilité. Le travail professionnel de ces laïcs, leur collaboration avec les religieux est donc une aventure d’Eglise à laquelle ils sont conviés. Seuls quelques-uns reçoivent mission de l’institut, d’emblée, par exemple en devenant chefs d’établissement. Mais tous sont invités à se situer à ce niveau du caractère évangélique de l’œuvre. Il en va de l’annonce de Jésus-Christ, ensemble, et à la manière du fondateur ou de la fondatrice.
Le second exemple concerne des jeunes qui partent pour un temps fixé en service humanitaire, et qui vivent dans une communauté ou proche d’elle. A travers les religieux ou religieuses ils approchent un art de vivre. Par eux, ils connaissent la fondatrice ou le fondateur. Sur ses pas, ils découvrent le sens de leur insertion : non pas seulement un service humanitaire, mais dans ce service, l’expression d’une passion pour l’humanité enracinée dans celle de Jésus. Aimer, comme Lui a aimé. Aimer, comme le fondateur ou la fondatrice l’a fait, illuminé par Jésus en Croix, ou Jésus attentif à chacun sur les routes de Palestine, ou Dieu Providence… Eux aussi sont invités à participer à cette aventure évangélique comme à Cana, soit en apportant les cruches comme les serviteurs, soit en étant attentifs aux personnes et dialoguant avec Jésus comme Marie, soit en se mettant à l’écoute du Maître qui dit ce qu’il faut faire. Au cours de leur engagement, parfois avant, voire même après, certains d’entre eux perçoivent également que le Christ les invite à avancer eux aussi désormais sur le chemin des fondateurs. Là se trouve aujourd’hui le souffle de leur vie chrétienne. Après ce service humanitaire, et donc dans un autre cadre, ils veulent continuer à vivre de Jésus-Christ et l’annoncer, de cette manière. A cause de cela, pour cela, ils veulent garder des liens avec les religieux ou les religieuses de cet institut. Plus tard, opteront-ils pour la vie laïque ou celui de la vie religieuse ?
Ainsi, aujourd’hui, des laïcs sont conviés à participer activement à la mission confiée par l’Eglise à des religieux. Ils sont acteurs de cette mission. Comme toujours, ils peuvent l’être de différentes manières. Mais, plus qu’hier, ils sont invités à prendre eux aussi pour cela le chemin des fondateurs. En ces lieux, leur mission dans l’Eglise ne devient pas un succédané de celle des religieux ! Elle relève, comme partout, d’une irrigation du monde par la saveur de l’Evangile, mais, ici, une saveur qui a le goût particulier de la figure évangélique propre de cet institut.
Le jeu des relations entre religieux et laïcs ne se situe pas seulement sur le terrain institutionnel. Une longue tradition d’Eglise met en marche, ensemble, religieux et laïcs. Il suffit de se souvenir de François ou Dominique. Or, aujourd’hui, on voit apparaître un double rayonnement de ces formes de vie évangélique. D’une part, depuis environ vingt-cinq ans, des groupes de baptisés font marche avec la plupart des instituts car ils veulent vivre leur vocation propre de laïcs dans la ligne des fondateurs. Il y a donc là, en cours, une sorte de démultiplication progressive des GVE (Groupements de vie évangélique). D’autre part, à côté de ces groupes typiquement centrés sur la vocation laïque, naissent d’autres groupes. Leurs membres ne cherchent pas d’abord à vivre cette même vocation en toutes ses dimensions. Ils veulent prendre le chemin des fondateurs pour vivre un point spécifique de leur vie : le mariage, le handicap, le métier, voire même le fait d’être jeunes… On voit donc apparaître tout un dégradé de groupes aux projets typés. Or, conjointement, loin de se répandre en une dispersion maximale, ces groupes font alliance avec l’institut. Ils ne constituent pas une couronne de satellites autour de l’institut. Pas du tout ! Au contraire, tous ensemble ils constituent ensemble une Famille : institut, groupes aux projets typés, groupes centrés sur la vocation laïque – et parfois, de même, groupes centrés sur la vocation sacerdotale – et groupes liés au partage d’un travail ou d’un service cités plus haut. Ils le font pour deux motifs : l’un issu d’une expérience, l’autre qui tient d’un projet. L’expérience commune est celle d’une transfiguration : découvrir comme une référence privilégiée un visage particulier de Dieu qui est à la fois révélation de lui-même et attente de révélation dans la société – visage qui a été la lumière prédominante et le leitmotiv de la vie du fondateur ou de la fondatrice. Le projet commun est celui de s’épauler ensemble, entre différents groupes, pour accueillir ce visage et lui donner chair diversement dans la société. L’Evangile accueilli et proclamé est au centre. Dans ces Familles évangéliques, il en va fondamentalement de la mission.
Dans ce contexte, la mission propre de chaque groupe particulier demeure : celle des laïcs rassemblés autour de leur vocation propre, celle des groupes aux projets spécifiques ou institutionnels, celle des instituts de vie consacrée… Pour ces derniers, leur mission communautaire de « passeurs vers la source » se trouve renforcée. Il en est de même pour les laïcs appelés à irriguer toute la société, sous le mode d’un engagement individuel ou collectif. Mais pour tous, la mission a la saveur et la couleur de l’intuition évangélique des fondateurs.
Du même auteur, sur ce sujet
- Vers des “Familles évangéliques”. Le renouveau des relations entre chrétiens et congrégations, Paris, Editions de l’Atelier, 2004 et Montréal, Bayard-Novalis, 2005.
[Texte intégral de la thèse de doctorat de théologie soutenue en mai 2002 au Centre Sèvres, Facultés jésuites de Paris.] - « L’engagement des chrétiens en lien avec des instituts », REPSA (Religieuses dans les professions de santé) n° 381, Paris, mars 2003, pp. 34-37.
- « Les relations entre chrétiens et instituts, un surgissement nouveau, une interpellation », Les congrégations religieuses et la société française d’un siècle à l’autre, Paris, Editions Don Bosco, 2004, p. 277-282 [Actes du Colloque organisé par la Conférence des Supérieurs majeurs de France en octobre 2003].
- « Pistes pour dire et vivre les relations entre chrétiens, chrétiennes et instituts », in Laïques et personnes consacrées, quel arrimage ? Actes du Colloque 2004, Cahiers de spiritualité ignatienne, Sainte-Foy (Québec) Canada, n° 113 (2005), pp. 59-70.