Groupes de recherche, libres propos d’un ecclésiologue


Laurent Villemin
prêtre du diocèse de Verdun,
professeur de théologie directeur adjoint à la recherche,
Institut catholique de Paris

 

Les pages qui suivent sont des réactions, des commentaires, une glose d’ecclésiologue sur les pratiques des groupes de recherche, et spécialement sur le texte du Service National des Vocations : « Pour le service de l’appel : des groupes de recherche » (1998). Elles ne se veulent aucunement un jugement mais plutôt des interrogations pour stimuler la pensée et éclairer, modestement, les pratiques. Elles aborderont successivement quatre thèmes. Les groupes de recherche reposent sur une conception du discernement sur laquelle nous reviendrons d’abord, laquelle ne va pas sans une véritable théologie de la vocation. Dans un troisième temps, nous approfondirons la notion d’initiation qui semble bien être au cœur de ce qui est en question dans les groupes. Nous verrons enfin comment ces questions sont profondément marquées par le contexte dans lequel nous sommes et qui est celui de la post-modernité.

 

Le discernement

Les plus anciens cinéphiles parmi nous se souviennent certainement de la comédie musicale La Mélodie du bonheur sortie sur les écrans en 1965. On y voit, dans un cadre champêtre autrichien, les hésitations d’une jeune fille (Maria) – on dirait aujourd’hui le discernement – entre la vie religieuse contemplative et l’amour d’un homme. On assiste également aux entretiens entre la maîtresse des novices, la maîtresse des postulantes et la mère Abbesse du couvent. Ainsi va une des conversations : « Comment résoudre le cas de Maria ? Quel est le vrai visage de Maria ? On ne peut pas abandonner Maria, nous devons la combler de nos bienfaits. » Et la mère Abbesse de déclarer pourtant au final : « Il semble que ce soit la volonté de Dieu que vous nous quittiez. »

On reconnaît dans cette conversation romancée les trois dimensions à prendre compte dans un discernement vocationnel : la volonté de Dieu, le désir du candidat et l’appel de l’Église. D’ailleurs, dans un style bien différent, le document sur les groupes de recherche ne dit pas autre chose : « Dans le même temps, le jeune y découvre qu’il ne s’agit pas de cheminer seul avec “sa” vocation mais bien de recevoir en Église “un” appel pour le service de tous. C’est aussi un lieu de vérification de l’appel de Dieu et du désir, ressentis par le jeune. » Bien sûr, ces trois points ne font pas nombre les uns avec les autres et la volonté de Dieu n’est pas forcément en dehors du désir du candidat et de l’appel de l’Église. Cela paraît évident et pourtant tous ceux qui se sont frottés de près à cette tâche de discernement, pour eux et pour d’autres, savent qu’elle est difficile.

Si les différentes écoles de discernement, ainsi que la théologie, supposent ces trois éléments comme étant non-contradictoires et s’inscrivant dans une admirable harmonie, on remarque que, dans la pratique, ils ne sont pas toujours faciles à reconnaître, à accorder et que cela suppose du temps. Cette maturation n’est finalement pas autre chose que la maturation de la vie et de la foi car c’est en Dieu seul que peut se réaliser cette unification. Le document sur les groupes de recherche propose le Christ comme principe unificateur : « Les animateurs des SDV insistent habituellement sur la place centrale que le Christ doit prendre dans la vie d’un jeune en recherche. Jésus, Fils de Dieu, sera proposé comme un chemin d’humanité réussi qui conduit au Père, “christianise”, vivifie et transforme. » Saint Ignace de Loyola disait que c’est le même Esprit qui gouverne chacun d’entre nous et qui gouverne l’Église et que le discernement des motions de l’Esprit en nous se faisait toujours en Église et, d’une certaine manière, par l’Église. Cette approche est courante chez les Pères de l’Église comme en témoigne l’expression d’anima ecclesiastica chez Origène. La traduire par « âme ecclésiastique » serait très certainement en limiter, voire en caricaturer, le sens. Elle rappelle qu’au plus intime de moi-même, de mon âme, est présente l’Église, naturellement pas au sens institutionnel, mais dans sa réalité de corps du Christ. Cette notion a pour nous aujourd’hui le grand mérite d’inviter à concevoir aussi – et peut-être d’abord – l’Église comme une réalité de l’ordre de l’intériorité.

Il n’y va pas là seulement d’un débat théorique mais d’un point central aussi bien pour les groupes de recherche que pour l’initiation ecclésiale. Un des enjeux de notre époque est, en effet, l’intégration pour la personne croyante de la dimension ecclésiale de la foi. Elle va de paire avec l’intégration de la personne dans le corps ecclésial. À juste titre, on a mis l’accent sur la responsabilité et l’autonomie du sujet croyant, mais on se trouve parfois fort embarrassé pour accueillir cette dimension dans l’Église. Du coup, on pose l’Église comme une réalité seconde qui vient, dans le meilleur des cas, se surajouter à la foi personnelle. L’enjeu des groupes de recherche est donc de permettre un chemin de foi personnelle qui intègre en son sein l’Église comme une réalité intérieure, une anima ecclesiastica. Le pas suivant est de ne pas scinder cette Église comme réalité intérieure et ses développements comme extérieurs, y compris dans leur dimension institutionnelle. C’est là l’enjeu de toute une vie, car l’expérience intime de l’Église entraîne des impératifs pour la vie ecclésiale concrète, y compris critiques. L’expérience intérieure de l’Église m’engage dans une tâche de réformation de l’Église semper reformanda. Dans un groupe de recherche, il faudra tenir cette dimension intérieure pour ne pas identifier vocation spécifique et activisme ecclésial. Il faudra aussi ne pas renoncer à la responsabilité d’agir dans l’Église pour ne pas idéaliser les fonctionnements ecclésiaux. Cette idéalisation mettrait la personne en discernement en sérieuse difficulté. En ce qui concerne la vocation, l’articulation entre le désir personnel d’un sujet et l’appel de l’Église devient alors central.

 

Une théologie de la vocation

Le document Pour le service de l’appel : des groupes de recherche témoigne d’une théologie pacifiée de la vocation, aussi bien dans ce qu’elle peut dire de la place du désir de la personne accueillie que des instances ecclésiales qui assurent l’appel. Cette théologie met l’accent sur l’appel de l’Église et lui donne un rôle décisif : « L’Église seule appelle et elle garde toujours sa liberté de consentement. C’est pourquoi la personne qui accueille sera parfois amenée à éconduire tel candidat ou à différer l’engagement au SDV de tel autre. » Mais la dimension ecclésiale du discernement ne légitime pas seulement la personne responsable à « éconduire » éventuellement un candidat, elle se transforme en exigence pour les SDV, et spécialement pour les groupes de recherche, à déployer leur œuvre avec les autres instances ecclésiales : « Le SDV est un moyen au service des jeunes et de leurs diverses vocations, mais il n’est pas le seul. Ses membres travailleront en partenariat avec les instances diocésaines et particulièrement la pastorale des jeunes, les prêtres et les instituts de vie consacrée et missionnaire. »

Ces principes du discernement semblent immuables et incontestables pour qui n’en connaît pas l’histoire 1. Pourtant, la définition même de la vocation a fait l’objet d’un vif débat au début du XXe siècle et mérite un retour historique si on veut comprendre et estimer à leur juste valeur la théologie en vigueur dans les groupes de recherche et dans l’Église. Au risque de caricaturer des positions qui se trouvent être plus complexes et plus nuancées, on peut dire qu’il oppose deux conceptions assez éloignées 2. D’un côté, le sulpicien L. Branchereau affirme que la vocation n’est autre que l’attrait que le jeune garçon reconnaît en lui. Par cette voix secrète, Dieu indique à l’âme sa volonté et lui fait connaître le choix qu’il fait d’elle pour tel genre de vie où il l’appelle. Le chanoine Lahitton rejette cette manière de voir qu’il juge trop unilatérale pour réhabiliter la place de l’Église dans la définition de la vocation : « La vocation vient de Dieu par l’évêque. C’est l’évêque qui appelle au nom de Dieu. Avant le choix de l’évêque, pas d’appel divin à chercher dans le sujet : en celui-ci, on ne peut trouver que des dispositions plus ou moins prononcées pour le sacerdoce : pure vocabilité, vocation en puissance, simple idonéité. La vocation en acte, l’appel divin, c’est l’évêque qui le défère, qui le donne, qui le crée 3 ». Le dessein de Lahitton n’est en aucune manière de renforcer le pouvoir de l’Église au détriment du désir du sujet. Il vise plutôt à combattre les effets nocifs d’un discernement vocationnel qui ne s’appuierait que sur le désir des enfants à devenir prêtre et où le rôle des séminaires (petits et grands) serait réduit à identifier cette présence. En redonnant sa place à l’Église et à l’évêque, il veut souligner qu’un ministère de prêtre est pour une mission ecclésiale et que le discernement des instances ecclésiales joue un rôle central dans lequel il convient aussi de voir la volonté de Dieu. La virulence de ces débats fut telle qu’elle entraîna la mise en place par le Saint-Siège d’une commission cardinalice qui trancha rapidement le débat et donna raison aux thèses de Lahitton. Les prises de position de cette commission n’échappent peut-être pas totalement aux déviations de la polémique mais elles permirent que se construise, au cours du siècle, une théologie plus équilibrée. On en trouve d’abord trace dans la constitution apostolique Sedes Sapientiae du pape Pie XII en 1956 4 : « La vraie vocation à quelque état que ce soit doit être reconnue en quelque façon comme divine, dans la mesure où l’auteur principal de tous les états, de tous les dons naturels et surnaturels est Dieu lui-même ; à combien plus forte raison doit être (divine) et être appelée ainsi la vocation religieuse et sacerdotale, qui resplendit à une si sublime hauteur, et est comblée de tant et de si grands ornements naturels et surnaturels, qu’ils ne peuvent descendre que du Père des lumières, de qui vient tout don parfait » (cf. Jc 1, 17).

Les ingrédients principaux de la position seront repris et intégrés dans la théologie du concile Vatican II au n°2 du décret Optatam totius sur la formation des prêtres : « Cette action concertée de tout le peuple de Dieu pour cultiver les vocations répond à l’action de la Providence divine. C’est cette dernière qui choisit certains hommes pour les faire participer au sacerdoce hiérarchique du Christ, et qui leur accorde les dons nécessaires et les aide de sa grâce. C’est elle aussi qui confie aux ministres légitimes de l’Église la mission, après avoir reconnu leur idonéité, d’appeler et de consacrer au culte de Dieu et au service de l’Église, par le sceau de l’Esprit, les candidats éprouvés qui auront demandé une si grande charge avec intention droite et pleine liberté 5. »

Il faut constater que la théologie de la vocation en vigueur dans le document sur les groupes de recherche intègre totalement la théologie de la vocation développée au concile Vatican II et dont on vient de repérer les racines.

 

Un chemin d’initiation

Il n’est pas moins intéressant de constater que l’itinéraire proposé par le document sur les groupes de recherche se présente à plusieurs égards comme un chemin d’initiation. Il le présente d’abord comme un lieu où il s’agit d’abord de faire une expérience : « À cette étape, le moment n’est pas aux enseignements, on préférera favoriser les expériences du cœur à cœur avec Dieu. » Il propose ensuite plusieurs étapes, au moins au nombre de trois (accueil, discernement, propositions) : « Quand l’accompagnateur aura le sentiment que le temps de l’accueil a été vécu et qu’un premier discernement a pu être fait (si possible avec l’équipe SDV, dans le respect inaliénable de la discrétion), il présentera les propositions du SDV local, celles du diocèse si elles lui paraissent appropriées ou toute autre qui répondrait à un besoin du jeune. » Un autre passage parle également de croissance en évoquant des étapes : « Le rôle du premier accueil est d’aider chacun à se sentir reconnu, de pointer ce qui est porteur de vie et d’avenir, ce qui peut être présence de l’Esprit de Dieu. En fonction de cela, il pourra être proposé tel ou tel moyen pour servir la croissance humaine et spirituelle du jeune. » On citera également l’accompagnateur personnel qui se trouve être une des caractéristiques de l’initiation. Les « moyens » de l’initiation sont également rappelés et développés dans le document : « L’Évangile, la prière personnelle et communautaire, la vie sacramentelle sont des lieux privilégiés de la rencontre du Christ. Ils invitent à le reconnaître dans les frères. Dès ce temps de l’accueil, il s’avère important de le faire découvrir. »

On ne peut s’empêcher de repérer la grande parenté entre ces principes reposant sur l’initiation et le Texte national d’orientation sur la catéchèse de 2006 6 qui conçoit également l’acte catéchétique à partir d’une pédagogie de l’initiation. Cette proximité est encore plus flagrante dans le chapitre 3 du Texte national d’orientation où sont développés « Les (sept) points d’appui d’une pédagogie d’initiation en catéchèse » :
1. la pédagogie d’initiation requiert la liberté des personnes ;
2. la pédagogie d’initiation requiert un cheminement ;
3. la pédagogie d’initiation prend sa source dans l’Écriture ;
4. la pédagogie d’initiation requiert la médiation d’une tradition vivante ;
5. la pédagogie d’initiation requiert des cheminements de type catéchuménal ;
6. la pédagogie d’initiation requiert une dynamique du choix ;
7. la pédagogie d’initiation requiert une ouverture à la diversité culturelle.

Et ce même texte de bien préciser que l’initiation « provoque au choix et à la décision ». Beaucoup de groupes de recherche ne renieraient pas ces principes comme charte de leur fonctionnement. Faut-il en conclure qu’un groupe de recherche est finalement une catéchèse d’initiation ? Oui, du point de vue de la visée fondamentale et des moyens : il s’agit bien de permettre de croître personnellement en Dieu par une démarche ecclésiale. La seule différence – mais elle est de taille – est que le groupe de recherche vise une décision par rapport à une vocation spécifique, ou plus largement à un discernement par rapport à un choix de vie.

Cette parenté entre la conception actuelle de la catéchèse et la démarche du groupe de recherche s’enracine certainement dans les conditions de vie qui sont les nôtres aujourd’hui et que l’on désigne souvent par la post-modernité.

 

Discernement et post-modernité

La post-modernité se caractérise, entre autres, par une crise de la transmission entre les générations, un éclatement des repères qui a pour conséquence la disparition d’un système de pensée englobant et donateur de sens, aussi bien pour les sociétés que pour les individus. Il en résulte un éclatement du sens et la nécessité pour chacun de faire son chemin en se réappropriant, dans sa propre histoire, les éléments disponibles. Cette nouvelle donne est lourde de conséquences pour les institutions, y compris religieuses, qui ne peuvent plus s’appuyer sur des automatismes de transmission mais doivent mettre en place des dispositifs nouveaux pour la croissance des personnes. La pédagogie d’initiation qui structure la catéchèse d’aujourd’hui répond largement à cette exigence. Les groupes de recherche des SDV prennent également acte de ce contexte même s’ils ne le mentionnent pas explicitement.

On s’étonnera que le document sur les groupes de recherche ne traite quasiment jamais d’un des rôles du groupe qui est tout simplement de permettre la rencontre de jeunes qui partagent le projet d’une vocation spécifique. Ce rôle est d’autant plus important que de tels jeunes se sentent bien souvent marginalisés et guère compris de leurs congénères quant à leurs projets. Ils disent alors combien ils apprécient de pouvoir ouvrir leur cœur sans être jugés, catalogués ou critiqués. Le groupe de recherche joue donc le rôle décisif d’un groupe de « semblables » sans lequel aucune croissance n’est possible. Toute la finesse des accompagnateurs consistera à jouer ce rôle de « protection » sans pour autant favoriser une conception uniquement refuge du groupe de recherche.

La diversité des jeunes à l’intérieur du groupe est d’ailleurs souvent un lieu dans lequel ils s’affrontent aussi à la différence, à l’altérité, ainsi qu’en témoigne le document : « Dès l’étape du premier accueil, il est bon de se rappeler que les personnalités des jeunes sont très diverses et parfois fragilisées (différences de maturité psycho-affective, souffrances du passé mal assumées, situations familiales précaires…). Le stade de vie spirituelle (du catéchumène au militant), la connaissance de la foi, le niveau intellectuel peuvent être très différents d’un jeune à l’autre. » Cette grande diversité est caractéristique de notre post-modernité. Elle est comme un défi pour l’Église qui doit l’intégrer dans sa réalisation de l’unité ecclésiale. Les groupes de recherche y contribuent à leur manière.

On se souviendra que dans notre société post-moderne, plus encore peut-être que par le passé, les chemins de Dieu mais également les chemins de vie sont de moins en moins linéaires. Charles de Foucauld est certainement le prototype d’une recherche multiforme, qui s’incarne dans des figures successives, mue par la recherche insatiable de Dieu. De manière moins spectaculaire, on voit aujourd’hui tel évêque qui a d’abord été missionnaire à l’étranger, avant de devenir moine, puis évêque… Le groupe de recherche veillera donc à prendre en compte ce donné, essentiellement en donnant au jeune des éléments spirituels afin qu’il conçoive la quête comme véritable chemin de vie. Cela n’est pas aussi simple qu’il y paraît de prime abord. Toute recherche de vocation spécifique comprend, en effet, une part de nostalgie infantile du socle stable des évidences absolues. « On veut trouver une fois pour toutes la place à laquelle Dieu nous veut. » L’accueil véritable de Dieu suppose d’accepter de ne pas tout savoir de sa vie à venir, d’acquiescer à l’idée de ne pas la maîtriser totalement. C’est aussi la mission du groupe de recherche d’aider le jeune à quitter la part de perfectionnisme qui peut se loger derrière un désir de vocation spécifique et constituer un obstacle à la rencontre véritable de Dieu.

Nous avions ouvert cet article avec quelques extraits de la comédie musicale La Mélodie du bonheur. Revenons pour terminer aux paroles de la mère Abbesse qui, à défaut de constituer une charte pour les groupes de recherche, en dessine pourtant bien l’enjeu : « Maria, notre abbaye ne doit pas vous servir d’échappatoire. De quoi aviez vous peur ? […] Il faut voir clair en vous. Ces murs n’ont pas été bâtis pour éluder nos problèmes. Vous devez leur faire face. Vous devez vivre la vie pour laquelle vous êtes née. »

 


1 - Pour une approche des questions de théologie de la vocation, on consultera : H. Legrand,« La théologie de la vocation aux ministères ordonnés : vocation ou appel ? », La Vie spirituelle 729, déc. 1998, p. 621-640, ainsi que les actes du colloque « Théologie de la vocation », Colloque de l’Institut catholique de Paris (février 2001), Jeunes et vocations n°102, troisième trimestre 2001.
2 - L. Branchereau, De la vocation sacerdotale, Paris, Vie et Amat, 1896.
3 - J. Lahitton, La Vocation sacerdotale. Traité pratique et théorique, 1ère éd., Paris, Lethielleux, 1909 ; 7e éd., Paris, Beauchesne, 1922.
4 - 31 mai 1956, AAS, 48, 1956, p. 67.
5 - Vatican II, décret Optatam totius sur la formation des prêtres, n° 2.
6 - Conférence des évêques de France, Texte national pour l’orientation de la catéchèse en France, coll. « Documents d’Église », Bayard/Fleurus-Mame/Cerf, Paris, 2006.