La Lettre comporte quatre parties, et chaque partie, un
certain nombre de chapitres.
Les titres ont été choisis par les éditions
du Vatican et non par l'auteur, comme dans les journaux.
Pour s'obliger à lire de près, il est intéressant
de chercher quels titres nous aurions nous-mêmes choisis.
Pour vous inviter à en trouver d'autres, voici un
exemple.
Introduction : La contribution de Pierre
Rendre grâce pour l'année jubilaire et la déchiffrer
(n° 1 et 2)
La mise en uvre dans chaque Église locale (n°
3)
Première partie : Méditation sur l'année
jubilaire
1- Quatre dimensions du Jubilé
La louange (n° 4)
L'incarnation dans l'Histoire (n° 5)
La repentance (n° 6)
Rendre gloire à Dieu pour les saints (n° 7)
2-Les pèlerins
Les anonymes (n° 8)
Les jeunes (n° 9)
Les enfants, les travailleurs, les familles, les prisonniers,
le monde du spectacle (n° 10)
3-Le Jubilé, ce fut encore...
Le congrès eucharistique (n° 11)
Le Jubilé vécu dans les Églises locales,
la participation cuménique (n° 12)
Le pèlerinage du Pape en Terre sainte (n° 13)
La dette internationale (n° 14)
Pas de paresse, mais il faut " être " avant
de " faire " (n° 15)
Deuxième partie : Contempler le Christ :
Son visage révèle le Père et dévoile
l'homme à lui-même
Contempler le Christ pour le faire voir (n° 16)
1-Le récit des évangiles (n° 17-18)
2-La connaissance par la foi (n° 19-20)
3-Le mystère de l'incarnation : écriture et
théologie ; les deux polarités du Christ ;
la conscience du Christ (n° 21 à 24)
4-L'heure de la croix et le matin de Pâques : la théologie
des saints (n° 25 à 28)
Troisième partie : Appel et chemins vers la sainteté
L'Église aurait-elle changé de programme ?
(n° 29)
1- L'appel à la sainteté (n° 30 et 31)
2-Quelques chemins
L'art de la prière et les écoles pour l'apprendre
(n° 32 à 34 ; 38)
La liturgie (n° 35)
Un dimanche eucharistique dans un monde mélangé
: le jour du Seigneur et le jour de l'Église (n°
36)
Ne pas désespérer du sacrement de réconciliation
(n° 37)
3- Écouter, annoncer la Parole de Dieu (n° 39
et 40)
Jusqu'au martyre (n° 41)
Quatrième partie : Les tâches de la charité
1- Vivre la communion dans toutes ses dimensions (trinitaire,
fraternelle, collégiale, locale, n° 42 à
44).
2-La communion entre les diverses vocations (prêtres,
consacrés, laïcs, associations, familles, n°
46 et 47)
3- L'engagement cuménique dans un esprit de
communion (n° 48)
4-L'imagination de la charité face aux nouvelles
pauvretés (n° 49-50)
5- Quelques chantiers prioritaires pour les laïcs (écologie,
paix, droits de l'homme, science, n° 51 et 52)
6- Et si les comptes du Jubilé sont excédentaires
? (n° 53)
7- Le dialogue inter-religieux, dans la fidélité
à la mission (n° 54 à 56)
Vatican II : la boussole reste fiable (n° 57)
Conclusion : Le cur enthousiaste et les jambes
dérouillées (n° 58-59)
Suggestions de travail
Avant même d'étudier le texte en détail,
cela vaut la peine de réfléchir au plan suivi
par le Pape : pourquoi, après avoir évoqué
les grandes heures du Jubilé, ne passe-t-il pas tout
de suite aux chantiers de demain ?
Une fois lu tout le document, on peut constater que l'essentiel
est dit dans l'introduction : " rendre grâce
" (n° 1) ; " déchiffrer " (n°
2) ; " nous projeter vers l'avenir " (n° 3).
Dans la lecture, il ne faut pas craindre de souligner ou
de surligner les expressions les plus fortes ou les plus
centrales.
Si vous travaillez en groupe, il faudrait consacrer une
réunion à chaque partie. Car chaque partie
traite quelques thèmes centraux (que nous avons essayé
de mettre en lumière par les titres suggérés
ici), mais contient aussi bien des points intéressants,
abordés comme en passant. C'est pourquoi la Lettre
est difficile à résumer sans qu'elle perde
beaucoup de son intérêt.
Si vous ne disposez que d'une réunion, il faudrait
que chaque participant ait lu l'ensemble, mais que l'un
ou l'autre ait préparé spécialement
une des quatre parties pour la présenter à
tous.
Si vous êtes internaute, vous pouvez " charger
" le texte (disponible sur le site du Vatican) et chercher
ensuite un certain nombre de mots-clef. Exemples : "
grâce " et " action de grâce "
; " nouveau " ; " visage " ; "
expérience " ; " mystère "
; " Église " et " Église locale
" ; " engagement " ; " marche "
et " route " ; " cuménisme "
; " élan ", etc. Les résultats sont
éloquents.
Les mots " concile Vatican II " reviennent dix-sept
fois et, sur les quarante-quatre citations autres que bibliques
contenues dans la Lettre, dix-sept sont empruntées
aux textes du concile Vatican II, que le Pape qualifie de
" normatifs ". Il peut être bon de se reporter
au texte original. Le concile est " la grande grâce
dont l'Église a bénéficié au
vingtième siècle " (n° 57) : sur
ce point, la Lettre de clôture répète
ce que disait le document préparatoire " À
l'approche du troisième millénaire ".
Il peut être bon aussi de consulter les textes de
l'Écriture que cite le Pape. Le Pape se réfère
aux évangiles synoptiques et aux Actes, mais aussi,
abondamment et presque à égalité, aux
écrits johanniques (trente-quatre fois), et à
la tradition paulinienne (trente fois) : ne s'appelle-t-il
pas " Jean-Paul " ?
Plus concrètement, vous pouvez rapprocher la Lettre
du Pape de ce qui a été vécu et, peut-être,
écrit ou décidé dans votre propre lieu
d'Église, notamment votre diocèse.
Pour aider à lire : quelques pistes et remarques
1-Rares sont les textes où le Pape se sera montré
aussi personnel. Cela vaut surtout pour la première
partie de la Lettre. Il se dit avoir été,
tour à tour, ému, enthousiaste, joyeux. Nous
le voyons regardant derrière son carreau la foule
des pèlerins qui attendent de franchir la Porte sainte
: spirituellement, il communie avec l'attente de chacun
(n° 8). C'est sur ce ton de confidence qu'il avait parlé
aux jeunes, en les accueillant le 15 août 2000 (n°
9).
La Lettre se termine par une bénédiction "
du fond du cur " : il faudrait demander aux vaticanistes
si cette formule a jamais été utilisée
ou si le traducteur romain a exagéré (ce qui
paraît peu vraisemblable au Vatican).
2- Le Jubilé était célébré
en l'honneur de l'Incarnation. La personne de Jésus
était donc, naturellement, au premier plan : "
Christ hier, aujourd'hui, à jamais ". Car Jésus
est le Christ (marqué par l'Esprit Saint), le Fils
du Père. En l'an 2000, après les trois années
préparatoires consacrées au Fils, à
l'Esprit et au Père, nous étions invités
à rendre gloire à la Trinité (n°
4) : cette dimension trinitaire n'a pas été
tellement honorée. Elle l'est dans la Lettre, sans
que le mot " Trinité " soit forcément
prononcé : voir les n° 1, 5, 23, 29, 30, 31,
32, 33, 42, 43, 59.
3- " Visage " est un des mots-clés de
cette Lettre. Il s'agit, le plus souvent, du visage du Christ
que nous avons contemplé lors du Jubilé (n°
1, 15) et que nous devons contempler pour le " faire
resplendir " (n° 16). Mais le visage du Christ,
qui révèle celui du Père (n° 32),
porte aussi les traits du péché (n° 25).
Il renvoie au visage de l'Église (n° 6), au visage
de l'homme (n° 23) et de ses cultures diverses (n°
40), au visage des pauvres ( n° 49) qui sont nos frères
(n° 43). L'usage d'un même mot dans des relations
aussi différentes n'est pas dû au hasard :
il découle d'une logique proprement chrétienne
où le Christ n'est pas plus séparable de l'Église
et de ses frères qu'il ne l'est de son Père.
Citant la parole de Jésus " J'avais faim et
vous m'avez donné à manger ", le Pape
lit dans ce passage de l'Évangile " une page
de christologie " (n° 49).
4- Il est intéressant de voir comment le Pape présente
son ministère. Puisque ce ministère est "pétrinien
" (n° 3), le Pape se réfère à
saint Pierre lui-même, dans sa profession de foi (n°
19), mais aussi dans son reniement, ses larmes et la profession
de son amour (n° 28). C'est à Pierre que Jésus
demande " d'avancer au large " (Luc 5, 4), phrase
qui revient comme une antienne au long de la Lettre (n°
1, 15, 38, 58). C'est à Pierre que les convertis
de la Pentecôte demandent : " Que devons-nous
faire ? " (n° 29).
Il faut regarder ensuite en quels termes le Pape exprime
la manière dont il entend exercer son ministère.
Vous pouvez chercher, entre autres, aux n° 3, 6, 12,
29, 37, 44, 58
À propos du sacrement de la
réconciliation, le Pape dit qu'il est " probablement
nécessaire de... " Cette expression, quasi contradictoire
dans les termes, est à verser au dossier de l'infaillibilité.
Parfois, il est dit qu'on a " essayé "
(n° 11, 55). Une seule fois, semble-t-il, le Pape dit
: " J'ai voulu moi-même... " (n° 12).
On s'instruit en allant voir à quel propos.
5- Rome est toujours accusée de centralisme. Il
ne semble pas que ce soit la tentation du Pape qui renvoie,
sans cesse, aux Églises locales (n° 3, 12, 29,
44, 57, 58). Il sait bien que les instruments de la collégialité
(n° 29) n'ont pas encore répondu à toutes
leurs " potentialités " : " il reste
certainement beaucoup à faire " (n° 44).
Le renvoi aux Églises particulières est dans
la logique de l'Incarnation qui se prolonge dans l'inculturation
(n° 40). Si Rome exerce quelque présidence, c'est
- selon le beau mot de saint Ignace d'Antioche - dans l'ordre
de la charité : elle entend bien exercer cette charité
concrètement (n° 53).
L'esprit de communion ne doit pas seulement animer le rapport
entre Rome et les Églises locales. Il doit être
vécu dans chaque Église (n° 31).
6- La Lettre est envoyée aux catholiques, puisque
la célébration de l'Année sainte était
une initiative catholique, s'inscrivant dans une tradition
propre aux catholiques. Cependant, la dimension cuménique
revient à plusieurs reprises. Tout n'a pas été
négatif dans cette année (n° 7 et 12).
Le chemin est, sans doute, plus difficile qu'il n'était
prévu, mais il faut le poursuivre, en esprit de communion
(n° 48).
7- Dans cette Lettre pleine d'espérance, le Pape
ne cache pas les mises en cause et les " problèmes
" (n° 29), anciens ou nouveaux, qui marquent les
jeunes (n° 9), la famille (n° 10 et 47), l'cuménisme
(n° 12 et 48), la prière (n° 32), la foi
elle-même (n° 33, 34, 36), le sacrement de pénitence
(n° 37), la société qui a abandonné
les valeurs évangéliques (n° 40), les
vocations (n° 46), la " croissance économique,
culturelle et technologique " (n° 50), le respect
de la vie (n° 51).
D'autre part, dans la ligne de la repentance (n° 6),
le Pape invite à reconnaître que nous ne sommes
pas parfaits. Il parle de faiblesses (n° 2) et d'opacité
(n° 54), d'une nécessaire " vérification
continuelle " de l'inspiration évangélique
(n° 44). Nous devons être, à l'avenir,
" plus humbles et plus vigilants " (n° 6).
L'Église est en chemin (n° 42).
Avons-nous tiré tout le parti possible de cette
heure de grâce qui nous était donnée
? Le Pape pose la question (n° 2, 57).
Le ton n'est pas sceptique comme celui des observateurs
qui, dès le lendemain de la clôture du Jubilé,
expliquaient que, malgré son apparente réussite,
il n'avait rien réglé. Mais le ton n'est pas,
non plus, triomphaliste. Il est marqué par l'espérance
dont la patience, le courage jusqu'au sang, l'enthousiasme
réaliste sont d'autres noms.
8- La Lettre développe la façon dont le Jubilé
peut continuer de porter des fruits spirituels. Elle n'en
oublie pas pour autant la dimension sociale et les grandes
questions éthiques qui sont désormais posées
au plan mondial (n° 11, 14, 49 à 53).
En ces domaines, les laïcs ont une responsabilité
spéciale, mais l'appel à la sainteté
et à la mission vaut aussi pour eux (n° 31, 34,
39, 40, 52).
Quelques développements privilégiés
La Lettre contient quelques développements inspirés
au Pape par l'expérience du Jubilé, mais valant
pour eux-mêmes.
lLa vie de Jésus, la connaissance du Christ, passion-résurrection
(n° 16 à 28).
lLa sainteté, une vocation pour chacun (n° 30
à 33).
lQu'est-ce qu'un programme pastoral ? (n° 15, 29 à
31, 38).
lLa prière chrétienne dans un monde pluraliste
(n° 32 à 35).
lLe dimanche (n° 35 et 36, 58).
lLa spiritualité de communion dans toutes ses dimensions
(n° 42 à 46, 58).
lÉvangélisation, dialogue inter-religieux
et approfondissement de la vérité (n°
54 à 56).
Quelques formules qui donnent à penser
Les guillemets qui accompagnent certains mots figurent
dans l'édition officielle du Vatican.
Nous avons vécu le Jubilé non seulement comme
mémoire du passé, mais comme prophétie
de l'avenir (n° 3).
L'expérience du Jubilé a atteint par moments
une intensité qui nous a presque fait toucher du
doigt la présence miséricordieuse de Dieu
(n° 4).
lLes jeunes se sont révélés un don
spécial de l'Esprit de Dieu... Le Jubilé des
jeunes nous a comme " pris à contre-pied "
(n° 9).
Dans la cause du Royaume, il n'y a pas de temps pour regarder
en arrière, et encore moins pour s'abandonner à
la paresse (n° 15).
lLes hommes de notre époque, parfois inconsciemment,
demandent aux croyants d'aujourd'hui, non seulement de "
parler " du Christ, mais, en un sens, de le leur faire
" voir " (n° 16).
Ce n'est pas une formule qui nous sauvera. C'est une Personne
(n° 29).
Peut-on " programmer " la sainteté ? Que
peut signifier ce mot dans la logique d'un plan pastoral
? (n° 31).
Demander à un catéchumène : "
Veux-tu recevoir le baptême ? " signifie lui
demander en même temps : " Veux-tu devenir saint
? " (n° 31).
La prière rend la personne humaine totalement possédée
par le Bien-Aimé divin, vibrant au contact de l'Esprit,
filialement abandonnée dans le cur du Père
(n° 33).
En ouvrant le cur à l'amour de Dieu, la prière
l'ouvre aussi à l'amour des frères et rend
capable de construire l'histoire (n° 33).
lUne journée de la communauté chrétienne,
où l'on harmoniserait les multiples occupations de
la pastorale et du témoignage dans le monde avec
la célébration eucharistique, et éventuellement
la récitation des laudes et des vêpres, est
peut-être plus " envisageable " qu'on ne
le croit habituellement (n° 34).
La participation à l'eucharistie est vraiment, pour
tout baptisé, le cur du dimanche. Il y a là
un engagement auquel on ne peut renoncer (n° 36).
Nous ne devons pas démissionner, chers frères
dans le sacerdoce, face à des crises temporaires
! (à propos du sacrement de réconciliation
: n° 37).
Durant l'année jubilaire, nous nous sommes particulièrement
réjouis de la beauté du visage multiforme
de l'Église. Ce n'est peut-être qu'un début,
une icône à peine ébauchée de
l'avenir que l'Esprit de Dieu nous prépare (n°
40).
lLes martyrs nous ont montré et comme " aplani
" la route de l'avenir. Il ne nous reste plus qu'à
marcher sur leurs traces, avec la grâce de Dieu (n°
41).
l" Soyons suspendus à la bouche de tous les
fidèles, car dans tous les fidèles souffle
l'Esprit de Dieu " (saint Paulin de Nole, n° 45).
L'Église ne peut céder aux pressions d'une
certaine culture, même si celle-ci est répandue
et parfois militante (à propos de la famille, n°
47).
L'invocation " Qu'ils soient un " est à
la fois un impératif qui nous oblige, une force qui
nous soutient, un reproche salutaire face à nos paresses
et nos étroitesses de coeur (n° 48).
l" J'avais faim et vous m'avez donné à
manger " : cette page n'est pas une simple invitation
à la charité ; c'est une page de christologie...
C'est sur cette page, tout autant que sur la question de
son orthodoxie, que l'Église mesure sa fidélité
d'Épouse du Christ (n° 49).
C'est l'heure d'une nouvelle " imagination de la charité
" (n° 50).
La charité des uvres donne une force incomparable
à la charité des mots (n° 50).
Le Concile est la grande grâce dont l'Église
a bénéficié au vingtième siècle.
Il nous offre une boussole fiable pour nous orienter sur
le chemin du siècle qui commence (n° 57).
Après l'enthousiasme du Jubilé, nous ne retrouvons
pas la grisaille du quotidien. Au contraire, si notre pèlerinage
a été authentique, il nous a comme dérouillé
les jambes pour le chemin qui nous attend (n° 59).
Les textes du Pape sur le Jubilé
Avant l'ouverture du Jubilé, le pape Jean-Paul II
avait publié trois textes qui gardent toute leur
importance :
À l'approche du troisième millénaire
(Tertio millennio adveniente), Lettre apostolique, 1994.
À tous les fidèles en marche vers le troisième
millénaire (Incarnationis mysterium), bulle d'indiction
du Grand Jubilé de l'an 2000, sur le pèlerinage
aux lieux qui sont liés à l'Histoire du Salut.
Lettre du pape Jean-Paul II à tous ceux qui se disposent
à célébrer dans la foi le Grand Jubilé,
1999.
Ces trois textes ont été publiés par
un groupe d'éditeurs (Centurion, Cerf, Fleurus-Mame).
Le troisième fait partie d'un petit volume ayant
pour titre Célébrer le Jubilé.
Ces documents, ainsi que tous les textes prononcés
par le Pape, durant l'Année sainte elle-même,
se trouvent sur le site internet du Vatican :
http://www.vatican.va. Cliquer sur : Événements
du Jubilé.
De l'ouverture à la clôture de l'Année
sainte, les principaux textes du Pape ont été
édités dans la Documentation catholique de
l'année 2000, avec un décalage d'un mois environ
entre l'événement et la publication. L'ouverture
se trouve dans les numéros 1, 2 et 3 ; le pèlerinage
aux lieux saints, dans les numéros 6, 7 et 8 ; les
JMJ, dans le numéro 16 ; l'acte de confiance en Marie,
dans le numéro 19. Les cérémonies de
clôture se trouvent dans le numéro 2 de l'année
2001. Mais la Documentation catholique a reproduit aussi
les homélies, messages ou discours, rédigés
pour les journées jubilaires destinées à
des publics particuliers.
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