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Au début du nouveau millénaire :
Plan de travail
Par Monseigneur Jacques Perrier,
évêque de Tarbes et Lourdes

 
 

La Lettre comporte quatre parties, et chaque partie, un certain nombre de chapitres.
Les titres ont été choisis par les éditions du Vatican et non par l'auteur, comme dans les journaux. Pour s'obliger à lire de près, il est intéressant de chercher quels titres nous aurions nous-mêmes choisis.
Pour vous inviter à en trouver d'autres, voici un exemple.

Introduction : La contribution de Pierre
Rendre grâce pour l'année jubilaire et la déchiffrer (n° 1 et 2)
La mise en œuvre dans chaque Église locale (n° 3)

Première partie : Méditation sur l'année jubilaire
1- Quatre dimensions du Jubilé
La louange (n° 4)
L'incarnation dans l'Histoire (n° 5)
La repentance (n° 6)
Rendre gloire à Dieu pour les saints (n° 7)
2-Les pèlerins
Les anonymes (n° 8)
Les jeunes (n° 9)
Les enfants, les travailleurs, les familles, les prisonniers, le monde du spectacle (n° 10)
3-Le Jubilé, ce fut encore...
Le congrès eucharistique (n° 11)
Le Jubilé vécu dans les Églises locales, la participation œcuménique (n° 12)
Le pèlerinage du Pape en Terre sainte (n° 13)
La dette internationale (n° 14)
Pas de paresse, mais il faut " être " avant de " faire " (n° 15)

Deuxième partie : Contempler le Christ :
Son visage révèle le Père et dévoile l'homme à lui-même
Contempler le Christ pour le faire voir (n° 16)
1-Le récit des évangiles (n° 17-18)
2-La connaissance par la foi (n° 19-20)
3-Le mystère de l'incarnation : écriture et théologie ; les deux polarités du Christ ; la conscience du Christ (n° 21 à 24)
4-L'heure de la croix et le matin de Pâques : la théologie des saints (n° 25 à 28)

Troisième partie : Appel et chemins vers la sainteté
L'Église aurait-elle changé de programme ? (n° 29)
1- L'appel à la sainteté (n° 30 et 31)
2-Quelques chemins
L'art de la prière et les écoles pour l'apprendre (n° 32 à 34 ; 38)
La liturgie (n° 35)
Un dimanche eucharistique dans un monde mélangé : le jour du Seigneur et le jour de l'Église (n° 36)
Ne pas désespérer du sacrement de réconciliation (n° 37)
3- Écouter, annoncer la Parole de Dieu (n° 39 et 40)
Jusqu'au martyre (n° 41)

Quatrième partie : Les tâches de la charité
1- Vivre la communion dans toutes ses dimensions (trinitaire, fraternelle, collégiale, locale, n° 42 à 44).
2-La communion entre les diverses vocations (prêtres, consacrés, laïcs, associations, familles, n° 46 et 47)
3- L'engagement œcuménique dans un esprit de communion (n° 48)
4-L'imagination de la charité face aux nouvelles pauvretés (n° 49-50)
5- Quelques chantiers prioritaires pour les laïcs (écologie, paix, droits de l'homme, science, n° 51 et 52)
6- Et si les comptes du Jubilé sont excédentaires ? (n° 53)
7- Le dialogue inter-religieux, dans la fidélité à la mission (n° 54 à 56)
Vatican II : la boussole reste fiable (n° 57)

Conclusion : Le cœur enthousiaste et les jambes dérouillées (n° 58-59)

Suggestions de travail
Avant même d'étudier le texte en détail, cela vaut la peine de réfléchir au plan suivi par le Pape : pourquoi, après avoir évoqué les grandes heures du Jubilé, ne passe-t-il pas tout de suite aux chantiers de demain ?

Une fois lu tout le document, on peut constater que l'essentiel est dit dans l'introduction : " rendre grâce " (n° 1) ; " déchiffrer " (n° 2) ; " nous projeter vers l'avenir " (n° 3).

Dans la lecture, il ne faut pas craindre de souligner ou de surligner les expressions les plus fortes ou les plus centrales.

Si vous travaillez en groupe, il faudrait consacrer une réunion à chaque partie. Car chaque partie traite quelques thèmes centraux (que nous avons essayé de mettre en lumière par les titres suggérés ici), mais contient aussi bien des points intéressants, abordés comme en passant. C'est pourquoi la Lettre est difficile à résumer sans qu'elle perde beaucoup de son intérêt.

Si vous ne disposez que d'une réunion, il faudrait que chaque participant ait lu l'ensemble, mais que l'un ou l'autre ait préparé spécialement une des quatre parties pour la présenter à tous.

Si vous êtes internaute, vous pouvez " charger " le texte (disponible sur le site du Vatican) et chercher ensuite un certain nombre de mots-clef. Exemples : " grâce " et " action de grâce " ; " nouveau " ; " visage " ; " expérience " ; " mystère " ; " Église " et " Église locale " ; " engagement " ; " marche " et " route " ; " œcuménisme " ; " élan ", etc. Les résultats sont éloquents.

Les mots " concile Vatican II " reviennent dix-sept fois et, sur les quarante-quatre citations autres que bibliques contenues dans la Lettre, dix-sept sont empruntées aux textes du concile Vatican II, que le Pape qualifie de " normatifs ". Il peut être bon de se reporter au texte original. Le concile est " la grande grâce dont l'Église a bénéficié au vingtième siècle " (n° 57) : sur ce point, la Lettre de clôture répète ce que disait le document préparatoire " À l'approche du troisième millénaire ".

Il peut être bon aussi de consulter les textes de l'Écriture que cite le Pape. Le Pape se réfère aux évangiles synoptiques et aux Actes, mais aussi, abondamment et presque à égalité, aux écrits johanniques (trente-quatre fois), et à la tradition paulinienne (trente fois) : ne s'appelle-t-il pas " Jean-Paul " ?

Plus concrètement, vous pouvez rapprocher la Lettre du Pape de ce qui a été vécu et, peut-être, écrit ou décidé dans votre propre lieu d'Église, notamment votre diocèse.

Pour aider à lire : quelques pistes et remarques
1-Rares sont les textes où le Pape se sera montré aussi personnel. Cela vaut surtout pour la première partie de la Lettre. Il se dit avoir été, tour à tour, ému, enthousiaste, joyeux. Nous le voyons regardant derrière son carreau la foule des pèlerins qui attendent de franchir la Porte sainte : spirituellement, il communie avec l'attente de chacun (n° 8). C'est sur ce ton de confidence qu'il avait parlé aux jeunes, en les accueillant le 15 août 2000 (n° 9).

La Lettre se termine par une bénédiction " du fond du cœur " : il faudrait demander aux vaticanistes si cette formule a jamais été utilisée ou si le traducteur romain a exagéré (ce qui paraît peu vraisemblable au Vatican).

2- Le Jubilé était célébré en l'honneur de l'Incarnation. La personne de Jésus était donc, naturellement, au premier plan : " Christ hier, aujourd'hui, à jamais ". Car Jésus est le Christ (marqué par l'Esprit Saint), le Fils du Père. En l'an 2000, après les trois années préparatoires consacrées au Fils, à l'Esprit et au Père, nous étions invités à rendre gloire à la Trinité (n° 4) : cette dimension trinitaire n'a pas été tellement honorée. Elle l'est dans la Lettre, sans que le mot " Trinité " soit forcément prononcé : voir les n° 1, 5, 23, 29, 30, 31, 32, 33, 42, 43, 59.

3- " Visage " est un des mots-clés de cette Lettre. Il s'agit, le plus souvent, du visage du Christ que nous avons contemplé lors du Jubilé (n° 1, 15) et que nous devons contempler pour le " faire resplendir " (n° 16). Mais le visage du Christ, qui révèle celui du Père (n° 32), porte aussi les traits du péché (n° 25). Il renvoie au visage de l'Église (n° 6), au visage de l'homme (n° 23) et de ses cultures diverses (n° 40), au visage des pauvres ( n° 49) qui sont nos frères (n° 43). L'usage d'un même mot dans des relations aussi différentes n'est pas dû au hasard : il découle d'une logique proprement chrétienne où le Christ n'est pas plus séparable de l'Église et de ses frères qu'il ne l'est de son Père. Citant la parole de Jésus " J'avais faim et vous m'avez donné à manger ", le Pape lit dans ce passage de l'Évangile " une page de christologie " (n° 49).

4- Il est intéressant de voir comment le Pape présente son ministère. Puisque ce ministère est "pétrinien " (n° 3), le Pape se réfère à saint Pierre lui-même, dans sa profession de foi (n° 19), mais aussi dans son reniement, ses larmes et la profession de son amour (n° 28). C'est à Pierre que Jésus demande " d'avancer au large " (Luc 5, 4), phrase qui revient comme une antienne au long de la Lettre (n° 1, 15, 38, 58). C'est à Pierre que les convertis de la Pentecôte demandent : " Que devons-nous faire ? " (n° 29).

Il faut regarder ensuite en quels termes le Pape exprime la manière dont il entend exercer son ministère. Vous pouvez chercher, entre autres, aux n° 3, 6, 12, 29, 37, 44, 58… À propos du sacrement de la réconciliation, le Pape dit qu'il est " probablement nécessaire de... " Cette expression, quasi contradictoire dans les termes, est à verser au dossier de l'infaillibilité. Parfois, il est dit qu'on a " essayé " (n° 11, 55). Une seule fois, semble-t-il, le Pape dit : " J'ai voulu moi-même... " (n° 12). On s'instruit en allant voir à quel propos.

5- Rome est toujours accusée de centralisme. Il ne semble pas que ce soit la tentation du Pape qui renvoie, sans cesse, aux Églises locales (n° 3, 12, 29, 44, 57, 58). Il sait bien que les instruments de la collégialité (n° 29) n'ont pas encore répondu à toutes leurs " potentialités " : " il reste certainement beaucoup à faire " (n° 44).

Le renvoi aux Églises particulières est dans la logique de l'Incarnation qui se prolonge dans l'inculturation (n° 40). Si Rome exerce quelque présidence, c'est - selon le beau mot de saint Ignace d'Antioche - dans l'ordre de la charité : elle entend bien exercer cette charité concrètement (n° 53).

L'esprit de communion ne doit pas seulement animer le rapport entre Rome et les Églises locales. Il doit être vécu dans chaque Église (n° 31).

6- La Lettre est envoyée aux catholiques, puisque la célébration de l'Année sainte était une initiative catholique, s'inscrivant dans une tradition propre aux catholiques. Cependant, la dimension œcuménique revient à plusieurs reprises. Tout n'a pas été négatif dans cette année (n° 7 et 12). Le chemin est, sans doute, plus difficile qu'il n'était prévu, mais il faut le poursuivre, en esprit de communion (n° 48).

7- Dans cette Lettre pleine d'espérance, le Pape ne cache pas les mises en cause et les " problèmes " (n° 29), anciens ou nouveaux, qui marquent les jeunes (n° 9), la famille (n° 10 et 47), l'œcuménisme (n° 12 et 48), la prière (n° 32), la foi elle-même (n° 33, 34, 36), le sacrement de pénitence (n° 37), la société qui a abandonné les valeurs évangéliques (n° 40), les vocations (n° 46), la " croissance économique, culturelle et technologique " (n° 50), le respect de la vie (n° 51).

D'autre part, dans la ligne de la repentance (n° 6), le Pape invite à reconnaître que nous ne sommes pas parfaits. Il parle de faiblesses (n° 2) et d'opacité (n° 54), d'une nécessaire " vérification continuelle " de l'inspiration évangélique (n° 44). Nous devons être, à l'avenir, " plus humbles et plus vigilants " (n° 6). L'Église est en chemin (n° 42).

Avons-nous tiré tout le parti possible de cette heure de grâce qui nous était donnée ? Le Pape pose la question (n° 2, 57).

Le ton n'est pas sceptique comme celui des observateurs qui, dès le lendemain de la clôture du Jubilé, expliquaient que, malgré son apparente réussite, il n'avait rien réglé. Mais le ton n'est pas, non plus, triomphaliste. Il est marqué par l'espérance dont la patience, le courage jusqu'au sang, l'enthousiasme réaliste sont d'autres noms.

8- La Lettre développe la façon dont le Jubilé peut continuer de porter des fruits spirituels. Elle n'en oublie pas pour autant la dimension sociale et les grandes questions éthiques qui sont désormais posées au plan mondial (n° 11, 14, 49 à 53).

En ces domaines, les laïcs ont une responsabilité spéciale, mais l'appel à la sainteté et à la mission vaut aussi pour eux (n° 31, 34, 39, 40, 52).

Quelques développements privilégiés

La Lettre contient quelques développements inspirés au Pape par l'expérience du Jubilé, mais valant pour eux-mêmes.

lLa vie de Jésus, la connaissance du Christ, passion-résurrection (n° 16 à 28).
lLa sainteté, une vocation pour chacun (n° 30 à 33).
lQu'est-ce qu'un programme pastoral ? (n° 15, 29 à 31, 38).
lLa prière chrétienne dans un monde pluraliste (n° 32 à 35).
lLe dimanche (n° 35 et 36, 58).
lLa spiritualité de communion dans toutes ses dimensions (n° 42 à 46, 58).
lÉvangélisation, dialogue inter-religieux et approfondissement de la vérité (n° 54 à 56).

Quelques formules qui donnent à penser

Les guillemets qui accompagnent certains mots figurent dans l'édition officielle du Vatican.

Nous avons vécu le Jubilé non seulement comme mémoire du passé, mais comme prophétie de l'avenir (n° 3).
L'expérience du Jubilé a atteint par moments une intensité qui nous a presque fait toucher du doigt la présence miséricordieuse de Dieu (n° 4).
lLes jeunes se sont révélés un don spécial de l'Esprit de Dieu... Le Jubilé des jeunes nous a comme " pris à contre-pied " (n° 9).
Dans la cause du Royaume, il n'y a pas de temps pour regarder en arrière, et encore moins pour s'abandonner à la paresse (n° 15).
lLes hommes de notre époque, parfois inconsciemment, demandent aux croyants d'aujourd'hui, non seulement de " parler " du Christ, mais, en un sens, de le leur faire " voir " (n° 16).
Ce n'est pas une formule qui nous sauvera. C'est une Personne (n° 29).
Peut-on " programmer " la sainteté ? Que peut signifier ce mot dans la logique d'un plan pastoral ? (n° 31).
Demander à un catéchumène : " Veux-tu recevoir le baptême ? " signifie lui demander en même temps : " Veux-tu devenir saint ? " (n° 31).
La prière rend la personne humaine totalement possédée par le Bien-Aimé divin, vibrant au contact de l'Esprit, filialement abandonnée dans le cœur du Père (n° 33).
En ouvrant le cœur à l'amour de Dieu, la prière l'ouvre aussi à l'amour des frères et rend capable de construire l'histoire (n° 33).
lUne journée de la communauté chrétienne, où l'on harmoniserait les multiples occupations de la pastorale et du témoignage dans le monde avec la célébration eucharistique, et éventuellement la récitation des laudes et des vêpres, est peut-être plus " envisageable " qu'on ne le croit habituellement (n° 34).
La participation à l'eucharistie est vraiment, pour tout baptisé, le cœur du dimanche. Il y a là un engagement auquel on ne peut renoncer (n° 36).
Nous ne devons pas démissionner, chers frères dans le sacerdoce, face à des crises temporaires ! (à propos du sacrement de réconciliation : n° 37).
Durant l'année jubilaire, nous nous sommes particulièrement réjouis de la beauté du visage multiforme de l'Église. Ce n'est peut-être qu'un début, une icône à peine ébauchée de l'avenir que l'Esprit de Dieu nous prépare (n° 40).
lLes martyrs nous ont montré et comme " aplani " la route de l'avenir. Il ne nous reste plus qu'à marcher sur leurs traces, avec la grâce de Dieu (n° 41).
l" Soyons suspendus à la bouche de tous les fidèles, car dans tous les fidèles souffle l'Esprit de Dieu " (saint Paulin de Nole, n° 45).
L'Église ne peut céder aux pressions d'une certaine culture, même si celle-ci est répandue et parfois militante (à propos de la famille, n° 47).
L'invocation " Qu'ils soient un " est à la fois un impératif qui nous oblige, une force qui nous soutient, un reproche salutaire face à nos paresses et nos étroitesses de coeur (n° 48).
l" J'avais faim et vous m'avez donné à manger " : cette page n'est pas une simple invitation à la charité ; c'est une page de christologie... C'est sur cette page, tout autant que sur la question de son orthodoxie, que l'Église mesure sa fidélité d'Épouse du Christ (n° 49).
C'est l'heure d'une nouvelle " imagination de la charité " (n° 50).
La charité des œuvres donne une force incomparable à la charité des mots (n° 50).
Le Concile est la grande grâce dont l'Église a bénéficié au vingtième siècle. Il nous offre une boussole fiable pour nous orienter sur le chemin du siècle qui commence (n° 57).
Après l'enthousiasme du Jubilé, nous ne retrouvons pas la grisaille du quotidien. Au contraire, si notre pèlerinage a été authentique, il nous a comme dérouillé les jambes pour le chemin qui nous attend (n° 59).

Les textes du Pape sur le Jubilé

Avant l'ouverture du Jubilé, le pape Jean-Paul II avait publié trois textes qui gardent toute leur importance :

À l'approche du troisième millénaire (Tertio millennio adveniente), Lettre apostolique, 1994.

À tous les fidèles en marche vers le troisième millénaire (Incarnationis mysterium), bulle d'indiction du Grand Jubilé de l'an 2000, sur le pèlerinage aux lieux qui sont liés à l'Histoire du Salut.

Lettre du pape Jean-Paul II à tous ceux qui se disposent à célébrer dans la foi le Grand Jubilé, 1999.

Ces trois textes ont été publiés par un groupe d'éditeurs (Centurion, Cerf, Fleurus-Mame). Le troisième fait partie d'un petit volume ayant pour titre Célébrer le Jubilé.

Ces documents, ainsi que tous les textes prononcés par le Pape, durant l'Année sainte elle-même, se trouvent sur le site internet du Vatican :
http://www.vatican.va. Cliquer sur : Événements du Jubilé.

De l'ouverture à la clôture de l'Année sainte, les principaux textes du Pape ont été édités dans la Documentation catholique de l'année 2000, avec un décalage d'un mois environ entre l'événement et la publication. L'ouverture se trouve dans les numéros 1, 2 et 3 ; le pèlerinage aux lieux saints, dans les numéros 6, 7 et 8 ; les JMJ, dans le numéro 16 ; l'acte de confiance en Marie, dans le numéro 19. Les cérémonies de clôture se trouvent dans le numéro 2 de l'année 2001. Mais la Documentation catholique a reproduit aussi les homélies, messages ou discours, rédigés pour les journées jubilaires destinées à des publics particuliers.