"En outre, a conclu Jean-Paul
II, une certaine logique mercantile, alliée aux technologies
modernes, peut parfois profiter de désirs humains bons en
eux-mêmes, tel celui de la maternité-paternité, poussant à
vouloir un enfant à tout prix. En réalité, la vie humaine
ne peut jamais devenir un objet. De sa conception à sa mort
naturelle, l'être humain possède des droits inviolables, devant
lesquels la liberté doit s'arrêter. Il est par conséquent
indispensable que, sur ces délicates matières, les états se
dotent de lois précises et claires, fondées sur de solides
bases éthiques, capables de protéger le bien inestimable qu'est
la vie humaine".
(Vatican Information Service) |
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