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La mise en sûreté des cathédrales et de leur patrimoine mobilier - Vade-mecum

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Ce texte rédigé par le Commandant Stéphane Théfo - Mission Sécurité du ministère de la culture et de la communication, est paru en juillet 2007.

La mise en sûreté d’une cathédrale vise à limiter les risques d’actes de malveillance susceptibles d’être perpétrés dans celle-ci.

Ces atteintes peuvent aussi bien toucher le bâti que le patrimoine mobilier renfermé dans l’édifice, et notamment les trésors. Les actes de malveillance sont de nature très variée : intrusions, vols, vandalisme, voire menace terroriste. Les conséquences peuvent s’avérer très lourdes, à l’image des dommages causés aux vitraux de la cathédrale de Limoges suite à une intrusion nocturne, voici bientôt deux ans.

Bon nombre des 86 cathédrales et des trois édifices cultuels dont l’État est également propriétaire (la basilique de Saint-Denis, la basilique Saint-Nazaire de Carcassonne et l’église Saint-Julien de Tours) sont d’ailleurs l’objet d’intrusions récurrentes. Notre-Dame de Paris en est l’exemple emblématique.

Afin de lutter contre ces phénomènes, il s’agit donc de protéger au mieux les édifices. Cette sécurisation doit s’inscrire dans une démarche globale. Ainsi, c’est un ensemble d’éléments qui va concourir à élever de manière sensible le niveau de sûreté du bâtiment, et par là même contribuer à la sécurisation du patrimoine mobilier qui s’y trouve.

Ces mesures sont d’ordre divers et concernent les différents protagonistes impliqués par le monument. (...)

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Illustration de l’article : Cathédrale de Périgueux. © SNPLS

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