circonscrite au limousin. La peinture et la sculpture ont fourni également dans la veine hagiographique un décor au culte des saints. Nous en profitons aujourd’hui dans les sanctuaires qui leur sont dédiés. Par leur petit volume, les émaux étaient plus vulnérables, les vols et les marchants d’objets d’art les ont dispersé pour une bonne part. Au XIXe siècle pour amener les limousins à fréquenter la cathédrale les évêques ont commandité vitraux et peintures murales, sorte de panthéon limousin.
Force de l’image ou puissance évocatrice de l’intercession, le culte des saints saura-t-il produire ses images en notre temps ?
Père Jean-Marie GAUDRON, Responsable de la CDAS de Limoges
Les ostensions sur le site du diocèse de Limoges