mieux la liturgie, écoutant la résonance du chant dans l’édifice et recherchant le lieu qui donnera à leurs voix la plus belle portée.
Dans cette composition attentive des éléments entre eux, où le sonore s’harmonise avec le visuel, et l’éphémère de la musique s’accorde avec la permanence de l’architecture, les bâtiments chrétiens deviennent des lieux d’assemblée qui contribuent à ce que les personnes fassent corps, se différenciant ainsi des temples grecs ou romains.
Père Louis Groslambert, Prêtre du diocèse de Belfort
Article extrait de la revue Chroniques d’art sacré, n°84, hiver 2005, p 10-11