besoin de marquer la fête par le chant. Le ministre répond à ce désir en cantillant le psaume, en chantant le dialogue avant l’Evangile, la litanie des saints. Pour mettre en valeur la parole « X… je te baptise », il est très facile de la cantiller de manière telle que l’assemblée puisse dire sa joie en chantant par exemple : « alléluia, amen ». Lors de la célébration du sacrement de pénitence et réconciliation, serait-il opportun de cantiller la formule d’absolution ?
Conclusion
Par le fait qu’il chante les dialogues, le ministre ordonné associe efficacement le peuple à ce qu’il fait. Par le fait qu’il cantille les textes qui ne visent pas la transmission d’un renseignement, il suscite chez les fidèles une attitude d’ouverture à Dieu qui est digne d’être loué et dont l’action n’est pas seulement l’objet d’une information.