paroisse ou autre) qui est le seul habilité à régler les factures.
envers la paroisse. Une telle association doit être dissoute lorsque son objectif est réalisé. Elle ne peut et ne doit jamais se substituer à l’affectataire légal. Le conseil économique paroissial ne peut donc être tenu à l’écart de cette association. Même avec un comité d’honneur composé de personnes très qualifiées ou de notables.
2. Parfois en recherchant un mécénat susceptible de correspondre à l’enjeu du projet. Ceci vaut principalement auprès de PME dont le champ d’action peut trouver un impact à travers une création artistique de qualité. C’est le cas d’entreprises du bois, de design, etc. Cette forme de soutien semble souvent improbable. Mais en fait, cela tient aussi à notre manque de savoir faire en ce domaine peu familier à la pastorale ordinaire. Pourtant, de récents exemples démontrent qu’il y a des opportunités y compris avec de grandes sociétés industrielles qui préfèrent prendre part à des actions ponctuelles que de s’abandonner aux appétits de l’État...
On le voit : il y a grand intérêt à développer le dialogue et la communication autour d’un projet. Certains financements extérieurs ont permis parfois de choisir ce qu’on croyait inaccessible ! Et le rêve devient réalité.
Père Moncault
Article extrait des Chroniques d’art sacré N°53 printemps 1998