se confier au Christ :
essentiellement par la litanie pénitentielle qui s’adresse au Christ ;
ou par le chant du Kyrie qui suit les deux premières formes de préparation pénitentielle proposées par le Missel ;
par l’aménagement du lieu qui désigne sa présence (on peut se tourner vers la croix pendant le Kyrie, par exemple)
Des rites qui parviennent à tourner cette assemblée vers le Père :
grâce à la procession d’entrée, souvent précédée de la croix, qui met en marche les fidèles, derrière le Christ, vers le Père ;
avec l’oraison qui termine la liturgie d’entrée, recueillant la prière de chacun et de tous pour la présenter au Père
Philippe Barras
(à partir d’un texte de Bernard Quinot)
Article extrait de la revue Célébrer, n°289 juin 1999 p 12-14
