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Publications
   
 
 
 




Le Secrétariat Général de la Conférence des Évêques de France édite un bulletin "Documents Épiscopat".
Des dossiers et des notes, rédigés par les responsables ecclésiaux et les spécialistes fournissent une réflexion abondante sur des sujets d'ordre théologique, éthique et pastoral. La collection de Documents Épiscopat comprend un minimum de 15 numéros par an.


N° 12/2006 — La problématique du « genre » - 4,50 €
En novembre 2005, l’Assemblée plénière de la Conférence des évêques a créé trois groupes de travail sur la proposition du comité Études et Projets. Le premier d’entre eux portait sur «Trois différences structurantes de la vie sociale:homme/femme, père/mère, frère/sœur». Il a été présidé par Mgr Bruguès, évêque d’Angers.
Pour introduire cette réflexion, il avait été demandé à M. Jacques Arènes de faire un exposé sur la «théorie du gender». En effet, cette théorie, d’origine anglo-saxonne, constitue la matrice idéologique de laquelle sont issues la plupart des remises en cause portant sur les différences entre les sexes.

N° 11/2006 — Perspectives pour une société juste et fraternelle - 6,00 €
Ce dossier, préparé par le Conseil pour les questions familiales et sociales, est destiné aux communautés chrétiennes.
Nous avons la chance de vivre en démocratie dans un État de droit. Voter est une liberté que bien des hommes n’ont pas. Chacun d’entre nous bénéficie d’une égale dignité et d’une égale souveraineté. L’enjeu de la politique ne se réduit pas à donner des solutions à des problèmes immédiats mais, tout en les prenant en compte, il est de proposer un projet de société. Aussi, dans la liberté légitime de diverses options, notre vote doit-il être précédé d’une réflexion et de débats qui nous permettent de définir le monde que nous voulons et d’en préciser les contours pour les années à venir

N° 10/2006 — La tendance sataniste dans la culture actuelle - 4,50 €
Il semble bien que ces dernières années ce que nous appelons globalement le satanisme se développe un peu partout à différents niveaux et dans de nombreux lieux de notre société, particulièrement chez les jeunes. Nous avons demandé au père Benoît Domergue, du diocèse de Bordeaux et expert dans l’étude de ces courants de rassembler l’essentiel de ses convictions sur cette délicate question. Ses propos pourront surprendre par leur réalisme mais ne font que traduire une situation que nous ne pouvons ignorer. Cet «état des lieux» de la tendance sataniste n’est bien évidemment pas dissociable d’une réflexion théologique et spirituelle à poursuivre et à laquelle nous conduisent et nous encouragent les conclusions de ce document.

N° 9/2006 — La rencontre de l'acte créateur et du message de la foi - 4,50 €
Lorsque nous sommes conduits à nous exprimer sur l’art, par conviction personnelle ou nécessité institutionnelle, il peut se faire que nous en restions à une description objective ou à des réflexions et points de vue statiques sur les œuvres ou les artistes. L’art n’est-il pas, pourtant, indissociable d’un acte et d’un acte créateur ? Et, en ce sens, ne nous rapproche-t-il pas, jusqu’en ses paradoxes ou ses excès, de l’acte créateur par excellence, source de la foi ? L’origine de cette réflexion est un colloque organisé autour de l’église de Ronchamp, œuvre de l’architecte Le Corbusier. La conférence, qu’il fut demandé à Mgr Joseph Doré de prononcer le 14 janvier 2006, s’intégrait dans le thème global « Ronchamp, l’exigence d’une rencontre ».

N°8/2006 – Regard sur le protestantisme évangélique en France. Conversations évangéliques–catholiques - 6 €
De nombreux textes œcuméniques sont proposés à la réception des Églises et Communautés ecclésiales. Par rapport à eux, le document que vous allez lire présente une double particularité.
D’une part, il n’émane pas d’un comité mixte de dialogue officiel entre deux Églises. Son auteur est un Groupe de conversations composé de représentants mandatés de l’Église catholique en France, et de personnalités évangéliques qui n’engagent pas leurs Communautés respectives, mais sont représentatives de la diversité du courant du protestantisme auquel elles appartiennent. Le texte que vous allez lire est le premier document de dialogue entre catholiques et évangéliques en France reflétant cette diversité.
D’autre part, il ne s’agit ni d’un texte d’accord entre théologiens ni d’une déclaration commune de représentants d’Églises. Il ne s’agit pas non plus d’un rapport sur un sujet donné, qui fait apparaître des convergences et des divergences, comme le proposent, par exemple, les textes du Comité mixte entre catholiques et baptistes. Dans nos conversations, la participation catholique n’a consisté ni à approuver ni à infléchir l’exposé de la théologie et de la vie du monde évangélique. Elle a visé seulement à les rendre davantage compréhensibles pour les lecteurs (notamment catholiques auxquels ce texte est plus particulièrement destiné), de sorte qu’ils apprécieront mieux l’authenticité de la foi et de l’expérience spirituelle des évangéliques qu’ils rencontrent de plus en plus souvent dans leur quartier, leur travail ou leur famille.
Nous sommes convaincus que ce Regard sur le protestantisme évangélique répond à un besoin d’information particulièrement sensible dans notre pays en profonde mutation, tant au niveau religieux qu’au niveau des valeurs. Il concerne principalement les Églises évangéliques en France et ne prétend pas donner une vision complète du protestantisme évangélique d’autres pays.
Ce document exprime une volonté commune de mieux se connaître. En contribuant au dépassement des caricatures mutuelles et des incompréhensions, comme nous avons pu en faire progressivement l’expérience dans nos conversations, et comme cela se vit déjà localement en de nombreux lieux, puisse-t-il ouvrir des chemins nouveaux et durables de dialogue entre catholiques et évangéliques.
Co-Présidents : Mgr Philippe Gueneley, évêque de Langres, Pasteur Daniel Rivaud

N° 7/2006 – Éléments de discernement pour le Renouveau – 4,50 €
Les 15 et 16 mai 2006, se sont réunis à Paris les délégués des évêques auprès du Renouveau charismatique. À cette occasion le père François-Régis Wilhélem, professeur au Studium de Notre-Dame-de-Vie, est intervenu sur la question du discernement. Le père Wilhélem est théologien auprès du Groupe d'accompagnement du Renouveau, au sein du Conseil pour les mouvements et associations de laïcs de la Conférence des évêques de France.
""L'expérience personnelle de la présence du Christ" est déterminante dans la vie de beaucoup de croyants aujourd'hui. Mais se pose aussitôt la question de l'authenticité de ces expériences, d'autant plus lorsqu’elles se manifestent de manière étonnante comme “le repos dans l'Esprit"."
C'est ce phénomène qui, se multipliant aujourd'hui, a suscité cette étude. Mais loin de s'y enfermer, le père Wilhélem nous livre dans ces pages des critères de discernement qui peuvent s'appliquer à tout ce qui est "expérience de Dieu". S'inspirant de la tradition carmélitaine comme de la tradition ignatienne, il nous donne un texte qui peut aider nombre d'accompagnateurs spirituels et responsables dans l'Église. C'est pourquoi les évêques qui accompagnent le Renouveau sont heureux que Documents Épiscopat puisse publier cette conférence.

N° 6/2006 - Avant la paroisse. Communautés, réseaux et pôles chrétiens aux trois premiers siècles – 4,50 €
Avant d’être le repère géographique qui a structuré nos territoires depuis de longs siècles, le mot de paroisse portait en lui, à l’origine, une conception du chrétien dans son rapport au monde. Le paroikos est "celui qui habite chez les autres", mais pas n’importe comment. Comme le dit si bien la lettre à Diognète, le chrétien est "celui qui vit dans le monde sans être du monde" ; il est de passage, mais il n’est pas pour autant un marginal.
En remontant ainsi aux toutes premières communautés chrétiennes, Marie-Françoise Baslez tourne nos regards sur la paroisse avant la paroisse. Nous mesurons que ceux qui aujourd’hui portent intérêt aux réseaux, aux pôles d’organisation de la vie ecclésiale tireront bénéfice de cette étude sur la naissance des premières communautés chrétiennes.
L’exégèse, l’archéologie, l’étude précise des Pères de l’Église mettent en effet en relief la place qu’ont prise dans l’Église naissante certains pôles (intellectuel, économique, social) ou certaines "personnalités-relais"
C’est dans le cadre de la session annuelle proposée par la Commission doctrinale aux évêques de France que Marie-Françoise Baslez a donné cette conférence. M.-F. Baslez est professeur d’histoire ancienne à l’université de Paris XII, professeur invité aux facultés jésuites, centre Sèvres et membre de l’Association catholique française pour l’étude de la Bible (ACFEB). Son intérêt dépasse de beaucoup le seul plan historique. Elle pourra stimuler la réflexion des diocèses dans leurs efforts de réorganisation des communautés chrétiennes pour un meilleur service de la mission.

N° 5/2006 – L’Europe, mais quelle Europe ? 4,50 €
L’Europe est nécessaire et son impact se fait sentir sur bien des éléments de la vie quotidienne, comme dans les échanges commerciaux et culturels. Et pourtant, chacun peut constater la crise dans laquelle se trouve la construction européenne, à la suite des échecs des référendums sur le Traité constitutionnel en France et aux Pays-Bas, deux des pays fondateurs, au printemps 2005.
Le père Henri Madelin, jésuite, qui travaille à Bruxelles au sein de l’OCIPE (Office catholique d’information et d’initiative pour l’Europe) propose dans ce numéro de Documents Épiscopat une réflexion sur la situation actuelle de la construction européenne et de ses difficultés, en privilégiant trois aspects :
L’indécision institutionnelle dans laquelle nous nous trouvons et les différentes hypothèses envisagées pour dépasser cette situation qui ne peut demeurer en l’état.
Une réflexion sur ce qui caractérise ou pourrait caractériser la puissance européenne dans le monde, en particulier dans la comparaison avec les États-Unis.
La question des limites ou des frontières de l’Europe, alors que l’on peut constater à quel point les circonstances de l’élargissement aux dix nouveaux pays membres ont brouillé son image. Quels peuvent être les critères à privilégier pour voir ce qui est ou non envisageable quant à l’accueil éventuel d’autres pays ?

N° 4/2006 – Les gens du voyage – 4,50 €
Si l’on évoque les gens du voyage au fil d’une conversation avec un maire, un responsable politique, un membre des forces de l’ordre ou simplement avec un citoyen lambda, aussitôt défile une litanie de récriminations voire de stéréotypes.
Après tout cela, faut-il en venir à penser que les gens du voyage ne seraient qu’une source de problème ? Malgré un certain nombre d’avancées sociales, voilà une question que la société française aussi bien que l’Église doit se poser ; il y a là un véritable défi à relever. Quel regard portons-nous sur ceux que nous appelons du nom générique de Tsiganes au risque d’occulter la grande diversité des gens du voyage ? Quel début de compréhension avons-nous de leur histoire douloureuse, de leur mode de vie marqué par l’itinérance ? Quel intérêt montrons-nous à l’égard de leur spécificité culturelle et de leur expression religieuse ? Quels ponts établissons-nous déjà avec eux ?
Autant de questions auxquelles tente de répondre ce dossier, publié par Documents Épiscopat, rédigé par des aumôniers et des responsables en aumônerie, préfacé par Mgr Gilbert Louis.

N° 3/2006 – Famille et société – 4,50 €
Si les moeurs conjugales se sont notablement modifiées depuis plusieurs décennies, ces transformations n’ont pas été sans poser de questions au droit des personnes et à celui de la famille. C’est dans ce cadre que la mission d’information sur la famille de l’Assemblée nationale, présidée par M. Patrick Bloche et dont le rapporteur était Mme Valérie Pécresse, a procédé à de nombreuses auditions.
Parmi elles, Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris, a été entendu le 7 décembre 2005. On trouvera ici son intervention liminaire, le contenu des questions qui lui ont été posées et les réponses apportées. La note développe plus largement certains points de son intervention orale.

N° 2/2006 - Communauté, communautaire, communautarisme – 4,50 €
D’où vient que, en France du moins, malgré la grande proximité des deux termes, la "communauté" bénéficie d’un préjugé favorable, tandis que le "communautarisme" est stigmatisé de tous côtés ? Ce constat n’a peut-être pas été bien analysé. Aussi la Commission doctrinale de la Conférence des évêques de France a-t-elle éprouvé la nécessité de préciser la compréhension théologique du fait communautaire catholique.
C’est La Commission avait commencé ses recherches au début de 2005. Très rapidement, elle avait sollicité la participation de tous les doyens des facultés canoniques de France. Qu’ils en soient ici remerciés.
Grâce à cette collaboration, une note doctrinale avait été envoyée aux évêques en novembre dernier. Il est apparu qu’elle pourrait contribuer utilement au débat en cours, dans l’Église d’abord, mais aussi dans la société française.

N° 1/2006 - La vocation diaconale de l’Église – 4,50 €
Les 17 et 18 octobre 2005 s’est tenue à Paris la rencontre nationale des délégués diocésains à la solidarité. Le thème de cette rencontre "La solidarité dans le diocèse : c’est l’affaire de qui ?" voulait faire le point sur la composition, le fonctionnement et les développements possibles des conseils diocésains de solidarité.
C’est dans ce cadre qu’il avait été demandé au père Étienne Grieu, sj, une intervention plus fondamentale sur la vocation diaconale de l’Église. Pourquoi vivre la solidarité ? Comment ce qui peut paraître une évidence nous conduit au cœur même de la foi ? Alors la solidarité n’est plus alors un ensemble de problèmes techniques à résoudre ou de questions confiées à des spécialistes mais elle relève d’abord d’une expérience de vie chrétienne, d’un style diaconal qui doit pouvoir marquer la figure de la communauté chrétienne tout entière. Il y a là matière à un renouvellement profond dans la compréhension théologique d’un engagement solidaire et dans les mises en œuvre qui en découleront pour une véritable diaconie de l’Église.